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  • Auteurs: Darlene Gardner
  • Auteurs: Ellen Weiss
  • Auteurs: Jean Vignaud

La route d'Eldorado : Pour l'or et la gloire (Ellen Weiss)

3,74 €
Cette histoire nous emmène sur les traces de deux amis de toujours, Tulio et Miguel, vauriens assoiffés d'or et de gloire. Longtemps ils ont été pauvres, vivant de combines et d'intrigues dans leur Espagne natale. Mais, un jour, le destin place sur leur chemin la carte de la fabuleuse cité d'Eldorado. Là commence l'aventure qui va les mener au travers des océans déchaînés, au milieu de jungles mystérieuses, jusqu'aux portes de la cité d'or, pour ce qui sera leur plus grande escroquerie. Après bien des péripéties, alors qu'ils pensent avoir enfin atteint le pouvoir et la richesse, le sort leur joue un dernier tour... Ils découvriront finalement qu'il n'y a pas plus grand trésor que leur amitié. On retrouve dans ce récit captivant, magnifiquement illustré toutes les émotions du nouveau film de Dream Works  En route pour Eldorado .

N° 1317 - Un fiancé pour Noël (Darlene Gardner)

2,15 €
Anna ne comprend pas ce qui l’a poussée à inviter Cole Mansfield à passer le soir de Noël chez ses parents ! Bien sûr, elle a eu pitié de son nouvel adjoint lorsqu’elle a appris qu’il devait passer le réveillon seul. Mais est-ce suffisant pour expliquer cette invitation ? D’autant que sa famille va s’imaginer qu’elle vient leur présenter l’homme de sa vie ! Et même si elle est fortement attirée par le séduisant Californien, elle se méfie de lui aussi, car elle a la nette impression qu’il brigue son poste. Et ça, Anna ne veut même pas y songer, parce que son travail, c’est toute sa vie. Mais lorsque Cole la suit jusqu’au chalet de montagne où elle passe la fin de l’année et qu’il déploie tout son charme pour la séduire, elle ne sait plus que penser…

La maison du maltais (Jean Vignaud) - Collection Gründ illustrée N° 16

4,50 €
Extrait : Chapitre VII Le matin jeta dans la rue un autre Matteo, un Matteo impatient, qui, dans sa hâte de se mettre au travail, bouscula sans le reconnaître le fumigateur dont l'encens parfumé de benjoin distribue, pour la semaine, du bonheur dans chaque maison. Franchie la Porte de la mer, il enleva ses sandales pour courir plus vite vers le quai aux phosphates. Il avait suffi d'une nuit d'amour pour opérer ce miracle. Jamais Matteo n'avait connu semblables délices ; certains mots l'exaltaient encore comme si Safia eût été présente. Lui, pauvre portefaix, avait été salué par cette beauté des îles comme un prophète « Ia Robbi, Ia Allah, ô mon maître, ô mon Dieu ! » Safia entre ses bras avait soupiré ces paroles, le corps palpitant comme celui d'un pigeon qu'on étouffe. Et c'est pour réentendre ces mots, ces soupirs, qu'il lui fallait de l'argent. Il voulait, tout comme les notables qui cachaient des fortunes derrière leurs haies de tabias, dans la banlieue sfaxienne, pouvoir parer sa maîtresse, l'étourdir de cadeaux. Fini, désormais, le temps où Matteo musait d'une barque à l'autre, criblant de ses quolibets Maltais et Siciliens ; finies, les flâneries chez Gordina, les siestes sur le sable chaud du chenal. Tout cela était le passé, un cadavre que Safia avait piétiné de ses petits talons marqués de henné…
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