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  • Auteurs: Delphine Saulière
  • Auteurs: James Marly
  • Auteurs: Jean Glachant
L'erreur (James Marly) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1570
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N° 1570 - L'erreur (James Marly)

3,05 €
Extrait : Un fiancé… pas comme les autres Mme Bouton, serrée dans son corset et alourdie par la digestion d'un repas copieux, avait le souffle court et les joues rouges. M. Bouton aurait bien voulu mettre ses pantoufles. Ils jetèrent, en même temps, un regard au carillon Westminster, orgueil de leur intérieur : dans deux minutes, onze heures sonneraient… D'ordinaire, à cette heure-là, ils étaient depuis longtemps dans leur lit,Mme Bouton tricotant en bâillant, M. Bouton écoutant une radio qui le berçait jusqu'au premier ronflement, signal de l'extinction des feux… Mais, en dépit de la gêne qu'ils s'imposaient exceptionnellement ce soir, ils étaient heureux. C'était peut-être, le plus beau soir de leur vie depuis leur nuit de noce qui remontait à… Oh ! il vaut mieux ne pas compter ! Du salon, dont l porte restait entr'ouverte, leur parvenait un murmure de voix : Eliane et son fiancé s'entretenaient tendrement, tête à tête…

C'est la vie Lulu ! T18 : J'ai peur de partir en colo (Delphine Saulière)

3,50 €
Lulu est en colère, ses vacances sont fichues : au lieu de l'envoyer chez sa mamie chérie comme chaque année, ses parents l'ont inscrite en colo, sans même lui demander son avis ! Comment ont-ils pu lui faire ça ? Deux semaines avec des gens qu'elle ne connaît pas et loin de sa maison ? Non merci ! Lulu compte bien trouver un moyen d'échapper à la colo… Dès 7 ans.

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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