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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Denise Renaud
  • Auteurs: Laura Leone

N° 453 - Un hiver de cristal (Laura Leone)

2,95 €
L'hiver est rude, la neige tapisse le sol, les arbres et les buissons gelés sont comme emprisonnés dans du cristal. « On » rôde autour du chenil de Oak Hill dont Fiona a la charge. « On » rôde et « on » vole. La jeune femme fait alors appel à une agence de détectives. Mais Noël approche et Eli Becker, le meilleur élément de l'agence, est bien décidé à rejoindre sa famille dans le Wisconsin pour les fêtes : pas question d'y renoncer pour traquer les visiteurs nocturnes, qui plus est au milieu des molosses et des roquets ! Pourtant, le patron insiste… et les grands yeux mauves de la belle Fiona savent se faire si persuasifs. Eli réfléchit… soudain, l'hiver deviendrait-il plus doux et l'enquête un prétexte à faire plus ample connaissance ?

N° 610 - La pêche aux perles (Denise Renaud)

4,45 €
Extrait : « Ainsi, dit le capitaine Roberts en tirant une bouffée de sa courte pipe, vous allez faire un petit tour dans cette vieille Europe ? » George Nicolson, ingénieur aux chantiers navals de Sydney, sourit : « Dites plutôt une grande tournée, mon cher ami ; je suis chargé d'étudier, dans les plus grands ports européens, les derniers perfectionnements de l'outillage et de l'organisation. J'en ai certainement pour plusieurs mois, un an peut-être, ou plus. — Mais ce sera pour vous fort intéressant, Nicolson. Allez-vous emmenez Jeff avec vous ? — J'y avais songé, mais c'est impossible ; je serai très occupé, et le pauvre garçon serait à l'abandon dans des villes étrangères. Non, il me faut le laisser ici, et c'est le point noir de ce voyage…

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
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