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  • Auteurs: Denise Renaud
  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Monique Ponty

N° 2.748 - Ursula (Monique Ponty)

7,95 €
Octobre 1944. Les enfants des départements les plus exposés sont évacués en Suisse. Monique, 12 ans, est accueillie dans une famille inconnue. Nouvelles habitudes, nouveau langage, le dépaysement est complet… Mais il y a Ursula, la petite fille de la maison ! Bien vite les enfants sympathisent et c'est une vie pleine de péripéties, d'imprévus, de découvertes qui commence pour Monique. Laissons-lui la parole…

L'inconnu de la Proiselière (Monique Ponty)

2,56 €
Que faire quand on est l'unique témoin d'un crime incroyable ? Comment réagir alors que l'assassin vous a vu et menacé ?  Une seule solution s'impose au garçon : partir… Partir en catastrophe, s'éloigner du lieu maudit, fuir la vision de cauchemar.  Mais comment survivre seul, à 13 ans, au coeur de l'hiver, sans abri et sans but ? 

N° 610 - La pêche aux perles (Denise Renaud)

4,45 €
Extrait : « Ainsi, dit le capitaine Roberts en tirant une bouffée de sa courte pipe, vous allez faire un petit tour dans cette vieille Europe ? » George Nicolson, ingénieur aux chantiers navals de Sydney, sourit : « Dites plutôt une grande tournée, mon cher ami ; je suis chargé d'étudier, dans les plus grands ports européens, les derniers perfectionnements de l'outillage et de l'organisation. J'en ai certainement pour plusieurs mois, un an peut-être, ou plus. — Mais ce sera pour vous fort intéressant, Nicolson. Allez-vous emmenez Jeff avec vous ? — J'y avais songé, mais c'est impossible ; je serai très occupé, et le pauvre garçon serait à l'abandon dans des villes étrangères. Non, il me faut le laisser ici, et c'est le point noir de ce voyage…

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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