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  • Auteurs: Denise Renaud
  • Auteurs: J.-R. Hautefort
  • Auteurs: Pierre Peter
Tante Annah joue aux dominos (J.-R. Hautefort) - Police et Mystère N° 52 - Ferenczi
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N° 52 - Tante Annah joue aux dominos (J.-R. Hautefort)

4,74 €
Extrait : Sur le point de s'engager dans la grande allée de Silverhill, Edward bifurqua si brusquement à gauche qu'il eut beaucoup de peine à redresser sa moto. Il s'était souvenu à temps de sa précédente arrivée : lancée à quatre-vingt-dix à l'heure, sa machine avait mis un tel désordre dans le gravier de l'allée qu'il en avait pour huit jours perdu l'estime du vieil Olivier, le jardinier. Pour ne pas mécontenter le brave homme qui entretenait le parc depuis tantôt un demi-siècle, il emprunta la route pavée qui contournait la propriété et aboutissait derrière le manoir. De loin, Silverhill avait toujours grande allure. Entre des arbres séculaires, en retrait de pelouses bien soignées, c'était le type même de ces habitations seigneuriales que représentent les classiques gravures anglaises et les traditionnelles cartes de Christmas. De près, l'impression n'était plus la même. Les bâtiments qui n'étaient pas entretenus depuis des années, tombaient presque en ruine. Il semblait à Edward que les dégâts se faisaient de jour en jour plus rapides. — Tout ici aurait besoin d'être restauré, remarqua sa tante qui l'attendait sur la terrasse, et qui l'avait surpris en train d'examiner pensivement es lézardes des murs. Malheureusement mes moyens ne me permettent pas de faire entreprendre des travaux…
Le mirage de l'amour (Pierre Peter) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1889
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N° 1889 - Le mirage de l'amour (Pierre Peter)

4,50 €
Extrait : Lorsque j'arrivai à mon bureau avec, comme d'habitude, un petit quart d'heure de retard — un tout petit quart d'heure fort heureusement — tout le personnel était en ébullition. J'en fus fort aise et en profitai pour me faufiler discrètement jusqu'au vestiaire afin de me changer, puis, l'opération terminée en un temps record, je vins prendre ma place derrière ma machine, c'est alors que je me rendis compte que quelque chose d'anormal devait se dérouler. Faisant signe du coin de l'oeil à Guitte, l'ariette, je lui soufflai : — Qu'est-ce qui se passe, Poison ? Ils ont tous des têtes. Guitte me considéra d'un air étonné, puis un mauvais sourire apparut sur ses petites lèvres minces. …Tout le monde sait que nous ne nous aimons pas, Guitte et moi, d'abord parce qu'elle ressemble toujours à une souillon et que j'adore la propreté, ensuite parce qu'elle est sournoise et cafarde, or, je me fais une joie et un honneur de proclamer partout que ce qui compte le plus à mes yeux est la franchise, la loyauté, et à chaque fois je prends Julien pour exemple…

N° 37 - L'étranglé me fait la vie dure (J.-R. Hautefort)

4,74 €
Extrait : Pourrai-je un jour dormir tranquille, sans être tiré de mon sommeil par la sonnerie stridente du téléphone ? Quand je pense que j'évite soigneusement de donner le numéro de ma ligne privée, je me demande ce que cela serait si ce numéro figurait sur l'annuaire ! J'ai beau gueuler, rien n'y fait : « Lorsque tu es couché on est certain de te joindre. » me déclarait un de ces fâcheux…

N° 610 - La pêche aux perles (Denise Renaud)

4,45 €
Extrait : « Ainsi, dit le capitaine Roberts en tirant une bouffée de sa courte pipe, vous allez faire un petit tour dans cette vieille Europe ? » George Nicolson, ingénieur aux chantiers navals de Sydney, sourit : « Dites plutôt une grande tournée, mon cher ami ; je suis chargé d'étudier, dans les plus grands ports européens, les derniers perfectionnements de l'outillage et de l'organisation. J'en ai certainement pour plusieurs mois, un an peut-être, ou plus. — Mais ce sera pour vous fort intéressant, Nicolson. Allez-vous emmenez Jeff avec vous ? — J'y avais songé, mais c'est impossible ; je serai très occupé, et le pauvre garçon serait à l'abandon dans des villes étrangères. Non, il me faut le laisser ici, et c'est le point noir de ce voyage…

N° 1942 - La peur du bonheur (Pierre Peter)

4,50 €
Extrait : — Résection… Automatiquement, je posai la pince dans le gant de caoutchouc qui se tendait. Lorsqu'elle fut en place, Jean-Loup aboya presque en tendant de nouveau sa main gauche ; — Cautère !… J'obéis aussi docilement et l'instrument porté au rouge se mit à fouiller dans l'ouverture qui balafrait le haut du ventre du patient, stérilisant du même coup les lèvres de la plaie qu'il venait de pratiquer dans l'intestin. Tendu de tous ses nerfs, Jean-Loup transpirait à grosses gouttes. Je l'essuyai aussitôt délicatement. Il ne me remercia même pas, mais je sentis tout de même qu'il m'en était profondément reconnaissant. Question d'intuition sûrement. Dès qu'il eut terminé cette partie de son travail, je lui tendis machinalement une suture spéciale, sans chas. L'éclair de satisfaction qui passa dans ses yeux me récompensa largement de toutes mes précédentes initiatives…
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