Accueil

Accueil

Il y a 5 produits.

Affichage 1-5 de 5 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Didier Herlem
  • Auteurs: Jean Dominique
  • Auteurs: Léopold Remon

Un mystère presque parfait (Didier Herlem)

2,92 €
Les vacances d'Antoine s'annonçaient calmes. Aussi n'en croit-il ni ses yeux, ni ses oreilles quand la réalité dépasse ses rêves les plus fous : qui aurait, en effet, imaginé que la paisible station de sports d'hiver abriterait un espion anglais, un escroc à barbe et à perruque, et que s'y dérouleraient cambriolages, enlèvements et autres bizarreries… Antoine aura bien du mal à démêler les fils du mystère qui couve.

N° 2756 - L'étoile du matin d'après le roman de Jean Dominique

3,75 €
Extrait : Juan Valera, officier de la police mexicaine, reposa le téléphone, frotta sa joue du plat de la main et prit un air méditatif. Cette mission dont son supérieur venait de parler à mots couverts devait être plus importante qu'il ne le laissait supposer. Pourquoi diable faisait-on toujours appel à lui dans les cas désespérés ? Il avait encore dans les oreilles le ton de voix embarrassé…

N° 3079 - Tendre Melissa d'après le roman de Jean Dominique

3,75 €
1948. Saigon. La guerre d'Indochine fait rage. Melissa, la petite infirmière, décide de retrouver les Terres Rouges où elle a passé son enfance et où plane encore le souvenir douloureux de son frère Michel, tué au Tonkin. Affectée à V22, un camp retranché à la lisière de la jungle, Melissa va se heurter à l'inflexible lieutenant Laurent Marçais. Heureusement, il y a aussi le timide et jovial docteur Leblanc. Dans l'horreur de cette guerre, Melissa rencontrera l'amour. Un amour difficile, désespéré, auquel viennent s'ajouter l'angoisse et le danger des attaques viets. Qui est donc ce mystérieux chef blanc qui mène ces attaques ? Une question dont la réponse va déchirer encore plus deux êtres promis l'un à l'autre, mais que tout sépare. TENDRE MELISSA, un grand roman de Jean Dominique, qui parle admirablement des passions humaines exacerbées par la lutte sans merci et le chaos des guerres.

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire