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  • Auteurs: Didier Herlem
  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Marianne Monestier

Un mystère presque parfait (Didier Herlem)

2,92 €
Les vacances d'Antoine s'annonçaient calmes. Aussi n'en croit-il ni ses yeux, ni ses oreilles quand la réalité dépasse ses rêves les plus fous : qui aurait, en effet, imaginé que la paisible station de sports d'hiver abriterait un espion anglais, un escroc à barbe et à perruque, et que s'y dérouleraient cambriolages, enlèvements et autres bizarreries… Antoine aura bien du mal à démêler les fils du mystère qui couve.

Julia des goëmons (Marianne Monestier) - Les sentiers de l'aube N° 44

9,90 €
Par le truchement de leurs chiennes Espérance et Ursule, dans des circonstances à la fois cocasses et troublantes, Julia et Vittorio font connaissance. Ce même jour, à des centaines de kilomètres, Marie des Houx et Michel semblent engager un avenir encore lointain, et pourtant déjà proche. A ce moment, les uns et les autres ignorent totalement leurs existences réciproques. Or, les hasards de la vie, et les circonstances qu'ils entraînent, vont les mettre en présente sur la plage du Vieil, dans l'île de Noirmoutier, où ils se trouveront réunis. Vacances qui les marqueront profondément. L'adolescence est souvent un passage un peu difficile à franchir mais lorsque les complications intérieures et le drame extérieur se joignent, de jeunes personnalités peuvent traverser de véritables épreuves. Julia et Marie, Michel et Vittorio feront-ils face à celles qui les attendent ?

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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