Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Dominic Barker
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Suzanne Clausse

BLART T1 : Chroniques d'un crétin trouillard qui devait sauver le monde (Dominic Barker)

5,25 €
— Blart, lança Capablanca, à présent que tu sais que tu es l'élu, acceptes-tu de m'accompagner pour sauver le monde ? — Non, répondit Blart. J'ai pas envie. Je vais me coucher. Et sur ces mots, le dernier espoir de l'humanité se leva de sa chaise et monta lourdement les marches, non sans lâcher un rot bruyant. Sauver le monde, et puis quoi, encore ? Blart, un simple gardien de cochons, n'a pourtant pas le choix. Il doit obéir au sorcier Capablanca flanqué d'un chevalier ivrogne, un cheval volant, une princesse grincheuse et un nain coléreux. Une bande de bras cassés, pour sauver le monde ? Bon courage ! À partir de 10 ans.

Un soir sur la grève… (Suzanne Clausse)

4,24 €
En Angleterre, un soir sur une plage, Véronique a été le témoin furtif et angoissé d'une rixe entre deux inconnus, dont l'un s'est enfui. Un peu plus tard, rentrée en France, la jeune fille croit reconnaître l'un des antagonistes dès qu'elle rencontre Jacques-Yves, jeune diplomate très séduisant. Malgré le doute qui l'obsède - l'un des hommes de la plage a été tué - Véronique se sent envahie par un irrépressible amour pour Jacques-Yves alors que celui-ci ne lui témoigne qu'une aimable indifférence. Pire encore !… Véronique découvre son attachement pour une jolie femme, Simone, dont le mari est un inquiétant personnage. La seule victoire en amour est-elle la fuite ? Véronique essaye de s'y résoudre, sans le moindre succès car le destin s'obstine à la remettre en présence de Jacques-Yves. Il semble maintenant s'acharner à vouloir la troubler. Un jeu bien dangereux. Pour lui aussi, peut-être ?

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire