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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Dominique Souton
  • Auteurs: Régine Aldi

N° 203 - L'Abandonnée (Régine Aldi) - Spencer TRACY et Deborah KEN en couverture

3,50 €
L'abandonnée Grand roman d'amour inédit par Régine Aldi Extrait : A une cinquantaine de kilomètres de Salerno, dans une baie dont la beauté ne le cède en rien à celle de Naples, le petit village de Rechi groupe ses maisons blanches et basses, aux toits rouges, aux fenêtres toujours ouvertes comme de grands yeux qui contempleraient la mer. Du village, un sentier grimpe le long de la falaise et, au bord du sentier, d'autres maisons se sont posées ça et là comme autant de nids d'oiseaux accrochés au flanc de ces roches rouges que le soleil du couchant rend plus rouges encore… La dernière est située presque au sommet, c'est une longue bâtisse sans étage, toute de chaux blanchie, avec de petites fenêtres carrées et des volets peints en vert. C'est là que Riggi, le vieux pêcheur est né, c'est là qu'il a grandi, qu'il est devenu un fin pêcheur ; c'est là qu'un jour il a ramené sa femme, du village de Pisciotta…

Ma jumelle, moi et quelques poux (Dominique Souton)

2,12 €
Un jour, Azalaïs s'invente une sœur jumelle : c'est Lola, sa meilleure amie. Elle est dans la même classe et suit le même cours de danse. Pour être vraiment sa jumelle, il faut aussi choisir le même dessert qu'elle, et porter deux culottes : une sous les collants et une par-dessus les collants pour les faire tenir. Jusqu'ici, c'est assez facile. Mais les choses se compliquent quand Azalaïs ne perd pas ses dents au même moment que Lola… De 7 à 10 ans.

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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