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Il y a 7 produits.

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  • Auteurs: Camille Arnold
  • Auteurs: Donna Carlisle

N° 1676 - La clause secrète (Camille Arnold)

2,92 €
Extrait : Jacqueline repoussa lentement le tiroir du classeur dont le carton vert était déchiré, après y avoir rangé la traite des établissements Phalippou et Fils… Elle était lasse. Non pas lasse de trop travailler — son emploi de dactylo-facturière chez Fradet , « couverture, plomberie, sanitaire », n'était pas harassant ! — mais, au contraire, de faire un travail monotone et ennuyeux auquel elle ne parvenait pas à s'intéresser. Tandis qu'elle cherchait dans une boîte déglinguée un morceau de sparadrap pour arranger tant bien que mal le tiroir défaillant, elle regardait du coin de l'oeil, avec une sorte d'envie, le comptable, M. Plumet…

N° 437 - Jours de fièvre (Donna Carlisle)

2,56 €
Les vagues léchaient doucement la coque du Miss Santa Fe et la brume montait dans l'air soudain plus chaud avant de se dissiper en longues écharpes claires. Leslie leva la tête vers Jess et sentit son souffle lui caresser le visage. Après toutes les discussions âpres, parfois violentes, qui les avaient opposés depuis qu'ils avaient fait connaissance, comment une telle douceur entre eux était-elle possible ? Le pont du bateau semblait devenu un étrange havre de paix. Le temps d'un répit magique, un moment suspendu. Car soudain, sans prévenir, comme un homme assoiffé qui va vers l'eau claire, Jess s'empara des lèvres de Leslie…

N° 448 - Au risque de tout perdre (Donna Carlisle)

2,95 €
Une lumière d'apocalypse baignait la terre glacée de ce coin d'Alaska. Meg songea que la tempête de neige ne tarderait pas à s'abattre sur la région. Pourtant, la violence de l'ouragan qui se préparait n'était rien comparée au cyclone qu'avaient été ses dix-huit mois de mariage avec Red ! A bout de forces, ils s'étaient décidés à divorcer et Meg aurait dû quitter l'Alaska aujourd'hui. Mais voilà... à cause du mauvais temps, son avion ne décollerait pas et elle resterait donc encore bloquée trois jours dans cet enfer où il lui faudrait éviter de rencontrer Red, de croiser le regard de Red, et surtout... de chavirer dans les bras de Red. Elle jeta un dernier coup d'oeil au ciel menaçant... Soudain, une petite voix lui souffla une étrange idée : et si cette tempête était votre chance, à toi et à Red ? Et s'il vous fallait, au risque de tout perdre, profiter de ces trois jours pour transformer votre turbulente union en vol de rêve dans un ciel sans nuages ?

N° 448 - Au risque de tout perdre (Donna Carlisle)

2,56 €
Une lumière d'apocalypse baignait la terre glacée de ce coin d'Alaska. Meg songea que la tempête de neige ne tarderait pas à s'abattre sur la région. Pourtant, la violence de l'ouragan qui se préparait n'était rien comparée au cyclone qu'avaient été ses dix-huit mois de mariage avec Red ! A bout de forces, ils s'étaient décidés à divorcer et Meg aurait dû quitter l'Alaska aujourd'hui. Mais voilà... à cause du mauvais temps, son avion ne décollerait pas et elle resterait donc encore bloquée trois jours dans cet enfer où il lui faudrait éviter de rencontrer Red, de croiser le regard de Red, et surtout... de chavirer dans les bras de Red. Elle jeta un dernier coup d'oeil au ciel menaçant... Soudain, une petite voix lui souffla une étrange idée : et si cette tempête était votre chance, à toi et à Red ? Et s'il vous fallait, au risque de tout perdre, profiter de ces trois jours pour transformer votre turbulente union en vol de rêve dans un ciel sans nuages ?

N° 388 - Une femme sous influence (Donna Carlisle)

2,56 €
Qu'était donc venue faire Lyn dans cette galère ? Elle avait accepté de s'occuper des « protégés » de M. Carmichael, et commençait à s'en mordre les doigts. Car à peine arrivée chez ce dernier — qui devait être un vieil original, vu sa ménagerie —, elle venait de laisser s'échapper Grizabelle, la plus précieuse des fameux « protégés », la chatte célèbre qu'on voyait sur toutes les affiches de publicité. Des millions de dollars envolés en fumée. Qu'allait-elle dire au propriétaire ? Pour l'instant rien. Car tiré sans doute de sa douche par les cris de Lyn, celui-ci venait d'apparaître en tenue très légère en haut de l'escalier. Et les yeux sombre couleur de chocolat amer qui observaient maintenant la jeune femme n'étaient pas vraiment ceux d'un « vieil original » !

N° 1704 - Au bord de l'abîme (Camille Arnold)

3,74 €
Extrait : Gustave Herbelot reposa le vase de Sèvres dont, machinalement, il avait regardé la marque. On aurait dit qu'il faisait, sans y songer, l'inventaire de ce qu'avait laissé, en mourant, Suzanne Teyssière. De tous les bibelots qui ornaient ce salon, le plus ravissant était sans conteste Odile devant qui Gustave vint se planter, les mains aux poches : — Alors, petite ? Nous sommes d'accord ? La jeune fille leva vers lui un regard craintif : — Il le faut bien, tonton. Elle n'était pas sa nièce, mais celle de sa femme, Fernande, qui était morte deux ans plus tôt. Décidément, on ne vivait pas vieux, chez les Guitton : les deux soeurs, Fernande et Suzanne, avaient été orphelines de bonne heure. Puis Fernande était morte à trente-huit ans et voici que Suzanne venait à son tour d'être emportée en quelques jours par une angine de poitrine. Il restait à Gustave, en tout de sa belle famille, cette nièce de dix-sept ans dont il avait été désigné le tuteur…

N° 1567 - L'inutile sacrifice (Camille Arnold)

3,05 €
Extrait : Chaque fois que Madeleine entend l'ascenseur se mettre en marche les aiguilles de son tricot s'immobilisent et elle suspend presque son souffle pour tendre l'oreille. Est-ce lui, cette fois ? Non, l'arrêt se fait à un autre étage... et elle en est, à la fois, déçue et contente : déçue, parce qu'elle languit que Claude soit rentrée... et contente, parce qu'elle pourra faire encore quelques « rangs » de plus à son pull-over. Comment sera-t-il ce soir ? Ne sera-t-il pas trop fatigué par le métro et ses bousculades aux heures de « pointe », ses innombrables escaliers de correspondance ? Ne sera-t-il pas trop énervé par les leçons données à des aspirantes-pianistes qui n'ont pas la moindre disposition pour la musique mais qui, avant de savoir faire une gamme, sont impatientes de pouvoir jouer Tristesse de Chopin à leur première réception ? Ne sera-t-il pas trop démoralisé par une entrevue avec quelque directeur de théâtre ou quelque éditeur qui, après lui avoir prodigué de grandes louanges pour ses oeuvres, se sera répandu en soupirs pour se plaindre de la crise, des frais chaque jour plus lourds qui l'obligent à « ne miser que sur des noms connus du public »…
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