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Il y a 10 produits.

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  • Auteurs: Donna Carlisle
  • Auteurs: France Noël

N° 437 - Jours de fièvre (Donna Carlisle)

2,56 €
Les vagues léchaient doucement la coque du Miss Santa Fe et la brume montait dans l'air soudain plus chaud avant de se dissiper en longues écharpes claires. Leslie leva la tête vers Jess et sentit son souffle lui caresser le visage. Après toutes les discussions âpres, parfois violentes, qui les avaient opposés depuis qu'ils avaient fait connaissance, comment une telle douceur entre eux était-elle possible ? Le pont du bateau semblait devenu un étrange havre de paix. Le temps d'un répit magique, un moment suspendu. Car soudain, sans prévenir, comme un homme assoiffé qui va vers l'eau claire, Jess s'empara des lèvres de Leslie…

N° 448 - Au risque de tout perdre (Donna Carlisle)

2,95 €
Une lumière d'apocalypse baignait la terre glacée de ce coin d'Alaska. Meg songea que la tempête de neige ne tarderait pas à s'abattre sur la région. Pourtant, la violence de l'ouragan qui se préparait n'était rien comparée au cyclone qu'avaient été ses dix-huit mois de mariage avec Red ! A bout de forces, ils s'étaient décidés à divorcer et Meg aurait dû quitter l'Alaska aujourd'hui. Mais voilà... à cause du mauvais temps, son avion ne décollerait pas et elle resterait donc encore bloquée trois jours dans cet enfer où il lui faudrait éviter de rencontrer Red, de croiser le regard de Red, et surtout... de chavirer dans les bras de Red. Elle jeta un dernier coup d'oeil au ciel menaçant... Soudain, une petite voix lui souffla une étrange idée : et si cette tempête était votre chance, à toi et à Red ? Et s'il vous fallait, au risque de tout perdre, profiter de ces trois jours pour transformer votre turbulente union en vol de rêve dans un ciel sans nuages ?

N° 448 - Au risque de tout perdre (Donna Carlisle)

2,56 €
Une lumière d'apocalypse baignait la terre glacée de ce coin d'Alaska. Meg songea que la tempête de neige ne tarderait pas à s'abattre sur la région. Pourtant, la violence de l'ouragan qui se préparait n'était rien comparée au cyclone qu'avaient été ses dix-huit mois de mariage avec Red ! A bout de forces, ils s'étaient décidés à divorcer et Meg aurait dû quitter l'Alaska aujourd'hui. Mais voilà... à cause du mauvais temps, son avion ne décollerait pas et elle resterait donc encore bloquée trois jours dans cet enfer où il lui faudrait éviter de rencontrer Red, de croiser le regard de Red, et surtout... de chavirer dans les bras de Red. Elle jeta un dernier coup d'oeil au ciel menaçant... Soudain, une petite voix lui souffla une étrange idée : et si cette tempête était votre chance, à toi et à Red ? Et s'il vous fallait, au risque de tout perdre, profiter de ces trois jours pour transformer votre turbulente union en vol de rêve dans un ciel sans nuages ?

N° 388 - Une femme sous influence (Donna Carlisle)

2,56 €
Qu'était donc venue faire Lyn dans cette galère ? Elle avait accepté de s'occuper des « protégés » de M. Carmichael, et commençait à s'en mordre les doigts. Car à peine arrivée chez ce dernier — qui devait être un vieil original, vu sa ménagerie —, elle venait de laisser s'échapper Grizabelle, la plus précieuse des fameux « protégés », la chatte célèbre qu'on voyait sur toutes les affiches de publicité. Des millions de dollars envolés en fumée. Qu'allait-elle dire au propriétaire ? Pour l'instant rien. Car tiré sans doute de sa douche par les cris de Lyn, celui-ci venait d'apparaître en tenue très légère en haut de l'escalier. Et les yeux sombre couleur de chocolat amer qui observaient maintenant la jeune femme n'étaient pas vraiment ceux d'un « vieil original » !

N° 1493 - Pourquoi refuser le bonheur ? (France Noël)

3,56 €
Extrait : Les conversations qui s'étaient tues pendant que Gilles Lorrain, debout sur l'étroit guéridon du bar, exécutait au son du pick-up un swing sauvage et désordonné qui tenait beaucoup plus de la crise d'épilepsie que de la danse, reprirent de plus belle avec des cris, des huées et des applaudissements lorsque le jeune homme sauta à terre et, tout essoufflé, se jeta dans un fauteuil. …

N° 1649 - Un soir... sur le port (France Noël)

3,74 €
Extrait : La brume était si dense que les lumières des bateaux semblaient danser à travers des épaisseurs de coton. Un petit crachin glacé pénétrait partout plus sûrement qu'une grosse pluie sans ruse. François releva le col de son imperméable, puis il s'arrêta pour bourrer et allumer sa pipe. Un instant il dut lutter contre le vent qui faisait vaciller la flamme de l'allumette, il jura entre ses dents puis se remit en route, les deux mains dans les poches, d'une allure nonchalante de promeneur. La nuit était complètement tombée, une de ces nuits hostiles et brumeuses, au cours desquelles la solitude semble plus amère. François s'arrêta contre la porte éclairée d'un café pour regarder sa montre. Il n'était pas encore neuf heures. Il avait toute la soirée devant lui. Il se demanda ce qu'il pourrait faire pour tuer le temps. Les affiches lumineuses d'un cinéma l'attirèrent. Il s'approcha mais constata qu'on y projetait le même film qu'il avait vu annoncé l'avant-veille dans une salle de son quartier à Paris…

N° 1718 - Une vie sans histoire (France Noël)

4,50 €
Extrait : Les cloches de l'église annoncèrent la sortie de la grand-messe ; les enfants du catéchisme s'agitèrent sur leurs bancs et tournèrent la tête vers la porte du fond qu'on venait d'ouvrir et par où l'on voyait un coin de ciel gris. Le claquoir de « M. l'Abbé » les rappela à l'ordre et les têtes se retournèrent vers le maître autel. Un coup de claquoir fit lever les enfants comme si l'on faisait jouer un ressort. Un rapide signe de croix qui semblait plus destiné à chasser les mouches qu'à affirmer leur foi chrétienne et les petits pieds chaussés de gros souliers d'hiver martelèrent les dalles de l'église. Sur la place, les gens s'assemblaient et les conversations de tous les dimanches reprenaient. On s'interrogeait sur l'emploi du temps de l'après-midi ; on se demandait des nouvelles ; on commentait le sermon virulent de M. le Curé qui avait stigmatisé les « tièdes » qui viennent à l'église plus pour faire admirer leur toilette dominicale que pour honorer et prier le Seigneur. On se répétait des phrases du sermon. Personne n'avait pris paroles du prêtre pour soi, comme il arrive toujours en pareil cas…

N° 1628 - Le plaisir et le bonheur (France Noël)

3,74 €
Extrait : L'auto roulait à vive allure sur le petit chemin bordé d'oliviers. Sur la droite, on apercevait la ligne étincelante de la mer. Les cigales chantaient et leur cri strident, monotone, semblait la chanson même de cette terre provençale si belle et si riche dans sa pureté géométrique. Les mains sur le volant, le jeune conducteur jeta sur la droite un regard d'ivresse ; la vue de la mer à l'horizon, bleue comme sur les cartes postales à bon marché, dont on a toujours tendance à croire qu'elles exagèrent les couleurs, lui versait une allégresse qui lui donnait envie de chanter et de crier de joie physique, comme un enfant. Il reporta son regard sur le petit chemin de terre rouge, si étroit qu'il devait rouler doucement pour ne pas accrocher au passage les troncs argentés des oliviers, et se mit à siffler une chanson d'étudiant. Il se sentait joyeux, plein d'entrain pour commencer la vie, la vraie vie qui l'attendait maintenant que ses études étaient terminées. Il s'étonna de voir soudain sur le chemin, ordinairement désert, une silhouette de femme…

N° 1530 - Le démon du printemps (France Noël)

3,74 €
Extrait : Assise sur le bord du sentier, les pieds ballants au-dessus du vide, la jeune femme contemplait la magnificence du couchant. Il y avait dans ce spectacle quelque chose qui lui serrait la gorge et lui donnait une vague et en somme assez agréable mélancolie. Les beaux spectacles que la nature prodigue à ceux qui savent les voir l'avaient, de tout temps, totalement exaltée. — Quelle enfant je fais ! murmura-t-elle pour elle-même. J'ailes larmes aux yeux pour un coucher de soleil réussi, pour un clair de lune romantique ou même simplement pour l'odeur puissante des seringas dans la nuit, exactement comme lorsque j'avais quinze ans. Il serait tout de même temps que cela se passât ! Malgré l'ironie qu'elle s'efforçait d'exercer contre elle-même, elle savait très bien, qu'au fond, elle ne souhaitait pas « que cela passât ». Il lui arrivait parfois d'envier les êtres qui traversent la vie sans rien ressentir que de superficiel car, disait-elle, « ceux-là souffrent moins… »…

N° 1514 - Son prince charmant (France Noël)

3,05 €
Extrait : La jeune fille déposa sur le sol sa charge de bois et frotta l'une contre l'autre ses mains violacées par le froid. Une mèche de cheveux bouclés s'échappait du capuchon de bure qui lui couvrait la tête et pendait entre ses sourcils ; elle la releva d'un geste machinal et essuya, du dos de sa main, son visage mouillé de pluie. Derrière elle, dans le chemin défoncé, ses sabots avaient laissé des empreintes profondes, emplies d'une eau grise et boueuse. La pluie ne cessait pas et le vent qui soufflait en rafales faisait gémir les sapins d'une longue plainte lugubre et presque humaine. La jeune fille frissonné. La distance qui lui restait encore à parcourir lui paraissait accablante. Elle avait froid, le bois était lourd, le soir tombait et le silence environnant, seulement troublé par le bruit de l'eau et du vent, avait quelque chose d'angoissant auquel elle ne pourrait jamais s'habituer. La pèlerine de drap grossier qui la couvrait presque jusqu'aux chevilles était imbibée d'eau, et elle se sentait glacée jusqu'aux os…
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