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Il y a 7 produits.

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  • Auteurs: Donna Carlisle
  • Auteurs: Philippe Jean

N° 437 - Jours de fièvre (Donna Carlisle)

2,56 €
Les vagues léchaient doucement la coque du Miss Santa Fe et la brume montait dans l'air soudain plus chaud avant de se dissiper en longues écharpes claires. Leslie leva la tête vers Jess et sentit son souffle lui caresser le visage. Après toutes les discussions âpres, parfois violentes, qui les avaient opposés depuis qu'ils avaient fait connaissance, comment une telle douceur entre eux était-elle possible ? Le pont du bateau semblait devenu un étrange havre de paix. Le temps d'un répit magique, un moment suspendu. Car soudain, sans prévenir, comme un homme assoiffé qui va vers l'eau claire, Jess s'empara des lèvres de Leslie…

N° 448 - Au risque de tout perdre (Donna Carlisle)

2,95 €
Une lumière d'apocalypse baignait la terre glacée de ce coin d'Alaska. Meg songea que la tempête de neige ne tarderait pas à s'abattre sur la région. Pourtant, la violence de l'ouragan qui se préparait n'était rien comparée au cyclone qu'avaient été ses dix-huit mois de mariage avec Red ! A bout de forces, ils s'étaient décidés à divorcer et Meg aurait dû quitter l'Alaska aujourd'hui. Mais voilà... à cause du mauvais temps, son avion ne décollerait pas et elle resterait donc encore bloquée trois jours dans cet enfer où il lui faudrait éviter de rencontrer Red, de croiser le regard de Red, et surtout... de chavirer dans les bras de Red. Elle jeta un dernier coup d'oeil au ciel menaçant... Soudain, une petite voix lui souffla une étrange idée : et si cette tempête était votre chance, à toi et à Red ? Et s'il vous fallait, au risque de tout perdre, profiter de ces trois jours pour transformer votre turbulente union en vol de rêve dans un ciel sans nuages ?

N° 448 - Au risque de tout perdre (Donna Carlisle)

2,56 €
Une lumière d'apocalypse baignait la terre glacée de ce coin d'Alaska. Meg songea que la tempête de neige ne tarderait pas à s'abattre sur la région. Pourtant, la violence de l'ouragan qui se préparait n'était rien comparée au cyclone qu'avaient été ses dix-huit mois de mariage avec Red ! A bout de forces, ils s'étaient décidés à divorcer et Meg aurait dû quitter l'Alaska aujourd'hui. Mais voilà... à cause du mauvais temps, son avion ne décollerait pas et elle resterait donc encore bloquée trois jours dans cet enfer où il lui faudrait éviter de rencontrer Red, de croiser le regard de Red, et surtout... de chavirer dans les bras de Red. Elle jeta un dernier coup d'oeil au ciel menaçant... Soudain, une petite voix lui souffla une étrange idée : et si cette tempête était votre chance, à toi et à Red ? Et s'il vous fallait, au risque de tout perdre, profiter de ces trois jours pour transformer votre turbulente union en vol de rêve dans un ciel sans nuages ?

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 388 - Une femme sous influence (Donna Carlisle)

2,56 €
Qu'était donc venue faire Lyn dans cette galère ? Elle avait accepté de s'occuper des « protégés » de M. Carmichael, et commençait à s'en mordre les doigts. Car à peine arrivée chez ce dernier — qui devait être un vieil original, vu sa ménagerie —, elle venait de laisser s'échapper Grizabelle, la plus précieuse des fameux « protégés », la chatte célèbre qu'on voyait sur toutes les affiches de publicité. Des millions de dollars envolés en fumée. Qu'allait-elle dire au propriétaire ? Pour l'instant rien. Car tiré sans doute de sa douche par les cris de Lyn, celui-ci venait d'apparaître en tenue très légère en haut de l'escalier. Et les yeux sombre couleur de chocolat amer qui observaient maintenant la jeune femme n'étaient pas vraiment ceux d'un « vieil original » !

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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