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  • Auteurs: Anne Claire
  • Auteurs: Donna Kauffman
  • Auteurs: Janet Ahlberg

Le livre de tous les écoliers (Janet et Allan Ahlberg) - Folio Benjamin N° 268

2,74 €
Le livre de tous les écoliers Pour Colin, Thomas, Sushma, Paul, Louise, Sophie, Grégoire et Alice, c'est la première rentrée scolaire. Pas à pas en leur compagnie nous partons à la découverte de l'école. La rencontre avec la maîtresse, toutes les nouvelles activités, les ennuis et les joies de ce monde nouveau.

N° 1656 - Je vous aime ! (Anne Claire)

3,74 €
Extrait : Eric Sauvage marchait lentement dans le petit square ombragé de vieux marronniers qui commençaient à se couvrir du brouillard vert des nouvelles feuilles. Il poussa du pied, à plusieurs reprises, un caillou rond comme du temps où il était petit garçon. Il se souvint soudain des gronderies de sa mère « Eric, Eric, je t'en supplie, tu m'uses toujours ton soulier droit deux fois plus vite que le gauche à cause de tes maudits cailloux !… Ne peux-tu voir à terre une pierre ou une vieille boîte sans la transformer en ballon de football, Eric ?… » Il sourit en lui-même à la chère image qui commençait à s'estomper. Ce rappel de sa mère lui réchauffa le coeur et lui rendit du courage. L'horloge du lycée sonna les trois quarts d'une heure. Des gamins passèrent près du jeune homme en se bousculant et en criant. Ils jetèrent leur cartable sur un banc et sortirent de leur poche un sac de billes. — Un quart d'heure encore avant le bahut, les vieux, on a le temps d'en faire une, cria le plus grand d'une voix éraillée de gamin qui s'égosille tout le jour…

N° 1647 - Une femme survint (Anne Claire)

3,05 €
Extrait : — Il me semble que j'entends battre la porte des chevaux. Crois-tu que Firmin l'ait fermée avant de monter se coucher ? — Je ne sais pas. Il n'oublie jamais, en général, mais il se peut que le vent l'ait rouverte. On dirait que tous les diables de l'enfer sont déchaînés ce soir. Tiens, les chevaux doivent sentir l'orage. Entends-tu la Blanche qui hennit. — Je crois que nous ferions bien d'aller voir et de vérifier si le poulailler est bien fermé, également. La nuit sera terrible. Depuis des années je n'ai vu un temps pareil ! Jean Michel se leva pesamment du fauteuil où il fumait sa pipe et se dirigea vers la porte. Son frère Robert se leva pour le suivre. Ils avaient tellement l'habitude de vivre ensemble, les deux « ours des Ronciers », comme on les appelait, que leurs mouvements avaient un synchronisme parfait. Jean ouvrit la porte qui donnait sur la terrasse et, tête baissé, résista en maugréant contre le vent…

N° 1692 - Douloureux problème (Anne Claire)

3,05 €
Extrait  : — Florence, appela une voix basse et impérieuse du fond de l'appartement, Florence où es-tu ? Une jeune femme mince et blonde qui se tenait devant la fenêtre et regardait les filles et les garçons en toilettes claires passer dans la rue, tressaillit comme si une main s'était posée sur son épaule. Elle repoussa brusquement les battants de la fenêtre. Il semblait qu'on venait de la surprendre en faute. — Je viens Régis, cria-t-elle. En traversant la pièce, elle s'arrêta devant un grand vase d'où jaillissaient des branches de lilas blanc et enfouit son visage dans les grappes fraîches et odorantes. Elle les respira avidement comme un prisonnier aspire l'air de la liberté. Du fond de l'appartement, la voix appela de nouveau : — Florence, j'ai besoin de toi, viens. La jeune femme se dirigea rapidement vers la chambre d'où venait l'appel. Dans un lit, face à lêa fentre, gisait un homme si ravagé par la souffrance et la maladie qu'il était difficile de lui donner un âge. Son visage était couleur de cire, ses yeux brillant de fièvre, s'enfonçaient profondément dans les orbites. Il respirait rapidement, avec peine…

N° 1139 - Un amant italien (Donna Kauffman)

2,06 €
Suzan s'arrêta devant le petit resto italien et en observa la façade avec satisfaction. Cette cantine chaleureuse et pittoresque, qui ne cherchait pas à époustoufler le chaland, c'était exactement ce qu'il lui fallait. Elle l'avait dit à son grand-père qui lui forçait la main pour qu'elle prenne dès maintenant la direction de l'empire familial : « Riche héritière, ça ne pose pas une femme. Je veux d'abord devenir une personne, faire mes griffes dans la vraie vie, rompre avec l'univers luxueux qui est le mien, et découvrir qui je suis vraiment. » Alors, pouvait-elle trouver mieux, comme expérience, que l'emploi d'aide cuisinière que proposait ce restaurant rigolo ? Déjà, elle devinait les parfums de basilic, l'effervescence de la cuisine, les yeux noirs du patron… Mais aussi, les odeurs de graillon, l'épuisement, les remontrances du patron… Fête ou cauchemar ? l'avenir le lui dirait. Et ensuite, ensuite seulement, elle rejoindrait le tracé si brillant de son premier destin.
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