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  • Auteurs: Doris Andersen
  • Auteurs: Philippe Jean
  • Auteurs: Winslow Eliot

Esclave des Haïdas (Doris Andersen) - Castor Poche N° 72

2,74 €
Kim-Ta, fils d'un chef de la tribu indienne des Salish, rêve de tuer le plus respecté et le plus puissant des animaux : l'ours noir. Aidé de son esclave personnel, il s'attaque à l'animal et le tue. Mais il a enfreint les règles et n'a pas respecté le rituel. Comme par châtiment de l'esprit en colère, les Haïdas attaquent le village de Salish et emmènent Kim-Ta et sa petite soeur loin de leur terre natale. Au cours de sa captivité chez les Haïdas, Kim-Ta découvre la dure réalité de l'esclavage mais il s'initie aussi aux riches coutunes de ce peuple de marins Mais peut-on oublier que l'on est né libre et fils de chef ?

L'innocence du mal (Winslow Eliot)

4,95 €
Dogwood Farm, Etat de NewYork; Défigurée et laissée pour morte par l'assassin d'une adolescente, Penny Houten, que son passé d'orpheline rebelle rend suspecte, est accusée du crime. Désignée comme la coupable par le meurtrier, Penny, à 19 ans, n'a d'autre solution que celle de s'enfuir sans laisser de trace… Deux ans plus tard… Qui reconnaîtrait sous les traits parfaits de Lark Chandler ceux de la petite sauvageonne d'autrefois ? Le visage reconstruit par la chirurgie esthétique, Penny Houten est devenue une autre femme. Une femme élégante, sophistiquée, sûre d'elle. Un homme, un seul, connaît son secret : le chirurgien qui l'a opérée… Devenue productrice à Hollywood, Lark a désormais en main les armes pour se battre. La beauté. La féminité. La rage glacée et têtue contre le coupable qu'elle s'est juré de démasquer. Mais aussi le talent et l'intelligence car en écrivant le scénario qui met en scène la vie d'une certaine Penny Houten, elle sait que nul ne sera épargné par le scandale - ni le meurtrier, ni ceux qui, par lâcheté, par cruauté, par perversité, l'ont abandonnée…

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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