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  • Auteurs: Brigitte Smadja
  • Auteurs: Dorothy Eden

Oublie-moi un peu, papa ! (Brigitte Smadja)

2,96 €
Naomi s’apprête à passer un jour parfait, en fêtant sur une péniche les dix ans de sa meilleure amie, Valentine, quand ses parents lui annoncent qu’ils se séparent. Il y aura un avant et il y aura un après. Avant ? Son père était souvent absent, indisponible, absorbé par son travail de chercheur en mathématiques. À présent ? Il a déménagé dans un appartement moderne, il fait les courses, il cuisine, il organise des sorties, au musée, à la piscine, prévoit des tas d’activités… Naomi voudrait bien que son père modèle la lâche un peu, qu’il l’aime toujours mais qu’il cesse de vouloir s’occuper d’elle chaque seconde qu’ils passent ensemble. Comment le lui dire sans lui faire de peine ? De 8 à 11 ans.

Le cabanon de l'oncle Jo (Brigitte Smadja)

2,96 €
Lili ne peut pas aller en colo avec ses frères. Elle passera ses vacances à Saint-Denis chez tata Denise, l'oncle Jo, et ses sept cousins. C'est une grande famille qui fait beaucoup de bruit. Mais l'oncle Jo est silencieux et il passe ses journées à regarder par la fenêtre un terrain vague. « Ma pauvre Denise », disent les voisines. « Dieu nous protège », répond tata Denise. Un jour, l'oncle Jo disparaît. Lili attend son retour et voit, sur le terrain vague, une porte qui avance toute seule.

Mon royaume est un cheval : Recueil de nouvelles

3,25 €
Jouer le cheval, à l’occasion d’une représentation théâtrale ? C’est une chance d’être seul en scène, ou presque, pour la première fois avec l’élue de son coeur. Ne pas vouloir se séparer de son cheval ? C’est marquer son originalité, occuper sa place et, bientôt, transmettre à quelqu’un qui le mérite son bien le plus précieux. Monter à cheval, lentement mais sûrement ? C’est, pour un escargot de conte, la seule façon de grandir, de voyager loin et de se faire un ami, un vrai, à la vie, à la mort. Voir passer, sur une plage, un cheval rebelle au galop ? C’est le déclic qui manquait à une adolescente pour décider d’être elle-même et d’affirmer son goût pour les choses absurdes et merveilleuses, comme les versions latines. Pour tous, un cheval, c’est plus qu’un cheval. C’est la vie ! De 8 à 11 ans.

N° 3035 - La revanche de l'amour d'après le roman de Dorothy Eden

3,75 €
Extrait : La porte de la chambre s'entrouvrait. Matilda tourna la tête sur l'oreiller et demeura aux aguets. La porte se referma. Quelqu'un l'espionnait. Lally ? Ou bien cette infirmière autoritaire qu'elle détestait ? Sûrement pas Mab. Mab avait le bon sens de se tenir éloignée de cette chambre où se devinait l'approche de la mort. Intrépide, ingouvernable, une vraie Duncastle…

N° 3069 - Des femmes disparaissent d'après le roman de Dorothy Eden

3,75 €
Des femmes disparaissent d'après le roman de Dorothy Eden Emma est chargée d'interviewer Barnabé Court, auteur de romans policiers à succès. L'aventure commence. Une aventure dont on ne peut ici même pas raconter le début, sous peine de gâter le plaisir de la surprise. Car dès les premières lignes, on est en plein inattendu. Comme l'annonce le titre, des femmes disparaissent. Emma se demande, avec une perplexité qui frise parfois l'inquiétude, ce que sont devenues la brune Joséphine, la blonde Sylvie. La série ne s'arrête pas là, jusqu'à ce qu'Emma elle-même… Dorothy Eden tient cette gageure de combiner avec maîtrise l'humour rose et l'humour noir. Car si l'aventure vécue par Emma a des aspects parfois macabres, elle est aussi traversée de part en part par une délicieuse tendresse. Tour à tour, vous rirez, vous frissonnerez, vous serez émue…

N° 284 - A deux pas de la mer (Dorothy Eden)

2,16 €
Extrait : D'où elle se tenait, sur la colline, Tessa avait une vue d'ensemble de l'école. A droite, les bâtiments proprement dits, derrière le verger, et, miroitante sous le ciel d'été, la petite nappe d'eau qui occupait le fond de l'excavation. Comment cette eau, théâtre d'un drame, pouvait-elle sembler aussi innocente, comment les fenêtres de l'école pouvaient-elles donner l'impression que derrière elles la vie poursuivait son cours normal ? Les vitres de Charlotte étaient ouvertes, le vent gonflait doucement les rideaux de coton blanc, et Tessa s'attendit presque que sa soeur agitât un mouchoir lui faisant signe de rentrer. La fenêtre de Fanny était fermée, ce qui voulait dire que la jeune fille était probablement étendue sur son lit se reposant. Tessa l'imaginait, inerte, lourde, les mains immobiles, le regard vague car ainsi que le disait Luc, Fanny n'avait pas repris ses sens. Tessa croyait plus volontiers que Fanny savait quelque chose qu'elle ne voulait pas communiquer aux autres et que son air absent venait de là…
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