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  • Auteurs: Dorothy Eden
  • Auteurs: Gladys Davidson

N° 3035 - La revanche de l'amour d'après le roman de Dorothy Eden

3,75 €
Extrait : La porte de la chambre s'entrouvrait. Matilda tourna la tête sur l'oreiller et demeura aux aguets. La porte se referma. Quelqu'un l'espionnait. Lally ? Ou bien cette infirmière autoritaire qu'elle détestait ? Sûrement pas Mab. Mab avait le bon sens de se tenir éloignée de cette chambre où se devinait l'approche de la mort. Intrépide, ingouvernable, une vraie Duncastle…

N° 3069 - Des femmes disparaissent d'après le roman de Dorothy Eden

3,75 €
Des femmes disparaissent d'après le roman de Dorothy Eden Emma est chargée d'interviewer Barnabé Court, auteur de romans policiers à succès. L'aventure commence. Une aventure dont on ne peut ici même pas raconter le début, sous peine de gâter le plaisir de la surprise. Car dès les premières lignes, on est en plein inattendu. Comme l'annonce le titre, des femmes disparaissent. Emma se demande, avec une perplexité qui frise parfois l'inquiétude, ce que sont devenues la brune Joséphine, la blonde Sylvie. La série ne s'arrête pas là, jusqu'à ce qu'Emma elle-même… Dorothy Eden tient cette gageure de combiner avec maîtrise l'humour rose et l'humour noir. Car si l'aventure vécue par Emma a des aspects parfois macabres, elle est aussi traversée de part en part par une délicieuse tendresse. Tour à tour, vous rirez, vous frissonnerez, vous serez émue…

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…

N° 284 - A deux pas de la mer (Dorothy Eden)

2,16 €
Extrait : D'où elle se tenait, sur la colline, Tessa avait une vue d'ensemble de l'école. A droite, les bâtiments proprement dits, derrière le verger, et, miroitante sous le ciel d'été, la petite nappe d'eau qui occupait le fond de l'excavation. Comment cette eau, théâtre d'un drame, pouvait-elle sembler aussi innocente, comment les fenêtres de l'école pouvaient-elles donner l'impression que derrière elles la vie poursuivait son cours normal ? Les vitres de Charlotte étaient ouvertes, le vent gonflait doucement les rideaux de coton blanc, et Tessa s'attendit presque que sa soeur agitât un mouchoir lui faisant signe de rentrer. La fenêtre de Fanny était fermée, ce qui voulait dire que la jeune fille était probablement étendue sur son lit se reposant. Tessa l'imaginait, inerte, lourde, les mains immobiles, le regard vague car ainsi que le disait Luc, Fanny n'avait pas repris ses sens. Tessa croyait plus volontiers que Fanny savait quelque chose qu'elle ne voulait pas communiquer aux autres et que son air absent venait de là…
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