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  • Auteurs: Dorothy Eden
  • Auteurs: Karen Rose Smith

N° 256 - Un troublant tête-à-tête (Karen Rose Smith) - Une nuit entre tes bras (Sandra Hyatt)

3,95 €
Un troublant tête-à-tête (Karen Rose Smith) Deuxième volet de la Saga des Foley et des McCord Servir de garde du corps à Gabriella McCord ? Rafe Balthazar n'aurait pu imaginer mission plus difficile et surtout plus désagréable. Comment va-t-il faire en effet pour supporter, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, cette richissime héritière à la redoutable réputation ? Car il est de notoriété publique que la belle Gabriella est aussi capricieuse qu'incontrôlable... Une nuit entre tes bras (Sandra Hyatt) Alors qu'elle assiste au mariage de son meilleur ami, Callie succombe au charme d'un inconnu au regard de braise, et passe la nuit en sa compagnie. Pourquoi n'aurait-elle pas le droit, pour une fois, de faire preuve d'un peu d'audace et de céder à ses désirs ? Pourtant, elle ne tarde pas à se rendre compte que ce moment d'égarement, aussi magique fût-il, était en réalité une terrible erreur. Car son mystérieux amant d'une nuit, qu'elle imaginait ne jamais revoir, n'est autre que Nick Brunicadi, son principal concurrent en affaires...

N° 3035 - La revanche de l'amour d'après le roman de Dorothy Eden

3,75 €
Extrait : La porte de la chambre s'entrouvrait. Matilda tourna la tête sur l'oreiller et demeura aux aguets. La porte se referma. Quelqu'un l'espionnait. Lally ? Ou bien cette infirmière autoritaire qu'elle détestait ? Sûrement pas Mab. Mab avait le bon sens de se tenir éloignée de cette chambre où se devinait l'approche de la mort. Intrépide, ingouvernable, une vraie Duncastle…

N° 3069 - Des femmes disparaissent d'après le roman de Dorothy Eden

3,75 €
Des femmes disparaissent d'après le roman de Dorothy Eden Emma est chargée d'interviewer Barnabé Court, auteur de romans policiers à succès. L'aventure commence. Une aventure dont on ne peut ici même pas raconter le début, sous peine de gâter le plaisir de la surprise. Car dès les premières lignes, on est en plein inattendu. Comme l'annonce le titre, des femmes disparaissent. Emma se demande, avec une perplexité qui frise parfois l'inquiétude, ce que sont devenues la brune Joséphine, la blonde Sylvie. La série ne s'arrête pas là, jusqu'à ce qu'Emma elle-même… Dorothy Eden tient cette gageure de combiner avec maîtrise l'humour rose et l'humour noir. Car si l'aventure vécue par Emma a des aspects parfois macabres, elle est aussi traversée de part en part par une délicieuse tendresse. Tour à tour, vous rirez, vous frissonnerez, vous serez émue…

N° 1752 - Le bonheur au rendez-vous (Karen Rose Smith)

2,56 €
Commencer sa nouvelle vie n'était pas simple et pourtant, au moment de se présenter chez Cooper Murphy, le père de la fillette qui serait désormais son élève, Meredith ne regrettait rien. Après son douloureux divorce en effet, au lieu de continuer à mener l'existence dorée que lui autorisait sa fortune personnelle, elle avait décidé de reprendre les études d'institutrice que son ex-mari l'avait contrainte d'abandonner — pour se prouver qu'elle était capable de mener à bien un projet personnel mais aussi dans l'espoir que le contact avec les enfants atténuerait sa douleur de ne pouvoir devenir mère. Maintenant, songea-t-elle avec une pointe d'angoisse, il restait à souhaiter que Cooper Murphy, qui lui avait fait confiance sans rien savoir de son passé, ne se montrerait pas trop curieux à son égard...

N° 284 - A deux pas de la mer (Dorothy Eden)

2,16 €
Extrait : D'où elle se tenait, sur la colline, Tessa avait une vue d'ensemble de l'école. A droite, les bâtiments proprement dits, derrière le verger, et, miroitante sous le ciel d'été, la petite nappe d'eau qui occupait le fond de l'excavation. Comment cette eau, théâtre d'un drame, pouvait-elle sembler aussi innocente, comment les fenêtres de l'école pouvaient-elles donner l'impression que derrière elles la vie poursuivait son cours normal ? Les vitres de Charlotte étaient ouvertes, le vent gonflait doucement les rideaux de coton blanc, et Tessa s'attendit presque que sa soeur agitât un mouchoir lui faisant signe de rentrer. La fenêtre de Fanny était fermée, ce qui voulait dire que la jeune fille était probablement étendue sur son lit se reposant. Tessa l'imaginait, inerte, lourde, les mains immobiles, le regard vague car ainsi que le disait Luc, Fanny n'avait pas repris ses sens. Tessa croyait plus volontiers que Fanny savait quelque chose qu'elle ne voulait pas communiquer aux autres et que son air absent venait de là…
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