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  • Auteurs: Dorothy Eden
  • Auteurs: Pierre Peter
Le mirage de l'amour (Pierre Peter) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1889
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N° 1889 - Le mirage de l'amour (Pierre Peter)

4,50 €
Extrait : Lorsque j'arrivai à mon bureau avec, comme d'habitude, un petit quart d'heure de retard — un tout petit quart d'heure fort heureusement — tout le personnel était en ébullition. J'en fus fort aise et en profitai pour me faufiler discrètement jusqu'au vestiaire afin de me changer, puis, l'opération terminée en un temps record, je vins prendre ma place derrière ma machine, c'est alors que je me rendis compte que quelque chose d'anormal devait se dérouler. Faisant signe du coin de l'oeil à Guitte, l'ariette, je lui soufflai : — Qu'est-ce qui se passe, Poison ? Ils ont tous des têtes. Guitte me considéra d'un air étonné, puis un mauvais sourire apparut sur ses petites lèvres minces. …Tout le monde sait que nous ne nous aimons pas, Guitte et moi, d'abord parce qu'elle ressemble toujours à une souillon et que j'adore la propreté, ensuite parce qu'elle est sournoise et cafarde, or, je me fais une joie et un honneur de proclamer partout que ce qui compte le plus à mes yeux est la franchise, la loyauté, et à chaque fois je prends Julien pour exemple…

N° 3035 - La revanche de l'amour d'après le roman de Dorothy Eden

3,75 €
Extrait : La porte de la chambre s'entrouvrait. Matilda tourna la tête sur l'oreiller et demeura aux aguets. La porte se referma. Quelqu'un l'espionnait. Lally ? Ou bien cette infirmière autoritaire qu'elle détestait ? Sûrement pas Mab. Mab avait le bon sens de se tenir éloignée de cette chambre où se devinait l'approche de la mort. Intrépide, ingouvernable, une vraie Duncastle…

N° 3069 - Des femmes disparaissent d'après le roman de Dorothy Eden

3,75 €
Des femmes disparaissent d'après le roman de Dorothy Eden Emma est chargée d'interviewer Barnabé Court, auteur de romans policiers à succès. L'aventure commence. Une aventure dont on ne peut ici même pas raconter le début, sous peine de gâter le plaisir de la surprise. Car dès les premières lignes, on est en plein inattendu. Comme l'annonce le titre, des femmes disparaissent. Emma se demande, avec une perplexité qui frise parfois l'inquiétude, ce que sont devenues la brune Joséphine, la blonde Sylvie. La série ne s'arrête pas là, jusqu'à ce qu'Emma elle-même… Dorothy Eden tient cette gageure de combiner avec maîtrise l'humour rose et l'humour noir. Car si l'aventure vécue par Emma a des aspects parfois macabres, elle est aussi traversée de part en part par une délicieuse tendresse. Tour à tour, vous rirez, vous frissonnerez, vous serez émue…

N° 284 - A deux pas de la mer (Dorothy Eden)

2,16 €
Extrait : D'où elle se tenait, sur la colline, Tessa avait une vue d'ensemble de l'école. A droite, les bâtiments proprement dits, derrière le verger, et, miroitante sous le ciel d'été, la petite nappe d'eau qui occupait le fond de l'excavation. Comment cette eau, théâtre d'un drame, pouvait-elle sembler aussi innocente, comment les fenêtres de l'école pouvaient-elles donner l'impression que derrière elles la vie poursuivait son cours normal ? Les vitres de Charlotte étaient ouvertes, le vent gonflait doucement les rideaux de coton blanc, et Tessa s'attendit presque que sa soeur agitât un mouchoir lui faisant signe de rentrer. La fenêtre de Fanny était fermée, ce qui voulait dire que la jeune fille était probablement étendue sur son lit se reposant. Tessa l'imaginait, inerte, lourde, les mains immobiles, le regard vague car ainsi que le disait Luc, Fanny n'avait pas repris ses sens. Tessa croyait plus volontiers que Fanny savait quelque chose qu'elle ne voulait pas communiquer aux autres et que son air absent venait de là…

N° 1942 - La peur du bonheur (Pierre Peter)

4,50 €
Extrait : — Résection… Automatiquement, je posai la pince dans le gant de caoutchouc qui se tendait. Lorsqu'elle fut en place, Jean-Loup aboya presque en tendant de nouveau sa main gauche ; — Cautère !… J'obéis aussi docilement et l'instrument porté au rouge se mit à fouiller dans l'ouverture qui balafrait le haut du ventre du patient, stérilisant du même coup les lèvres de la plaie qu'il venait de pratiquer dans l'intestin. Tendu de tous ses nerfs, Jean-Loup transpirait à grosses gouttes. Je l'essuyai aussitôt délicatement. Il ne me remercia même pas, mais je sentis tout de même qu'il m'en était profondément reconnaissant. Question d'intuition sûrement. Dès qu'il eut terminé cette partie de son travail, je lui tendis machinalement une suture spéciale, sans chas. L'éclair de satisfaction qui passa dans ses yeux me récompensa largement de toutes mes précédentes initiatives…
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