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  • Auteurs: C. Fongrave
  • Auteurs: Douglas Evans

N° 1031 - Ce que femme veut ! (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Elle lui tenait les deux mains et le considérait avec tendresse : — Voyons, Pierre, du courage ! Père changera peut-être d'idée. Actuellement il semble buté et il serait dangereux de le harceler. Le jeune homme sourit avec amertume : — Si tu m'aimais autant que je t'aime, tu ne me conseillerais pas aussi aisément la patience. Des larmes brillèrent au bord de ses longs cils dorés et elle serra plus fort les mains de l'aimée : — Ne dis pas cela, tu me déchires le coeur. Je ne te conseille pas la patience, mais la sagesse. Père tient absolument à ce que son gendre soit riche ; il ne veut pas, prétend-il, que je connaisse la médiocrité dans laquelle il a vécu toute sa vie. Tu sais que cette pauvreté auprès de toi ne m'effrayerait pas, mais il affirme que j'ignore tout de l'existence. Nous en sommes là. Evidemment, c'est triste, mais comment passer outre sans causer un mortel chagrin à mon pauvre papa…

N° 238 - Délires : Fête à tous les étages (Douglas Evans)

2,54 €
Avertissement : Que tu aimes déjà les livres ou que tu les découvres, si tu as envie de rire, la Collection  Délires  est pour toi. Attention, lecteur ! Tu vas pénétrer dans un monde excitant, où l'humour et la fantaisie te donnent rendez-vous pour te faire rigoler et peut-être pleurer… mais de rire ! Les Wilson arrivent dans un hôtel de San Francisco. Mais il n'y a plus une seule chambre de libre. Qu'importe ! Cette famille un peu… originale se contentera du minimum. Les voici tous les quatre dans une petite chambre très économique, qui a ses hauts et ses bas, certes, mais où l'on fait des rencontres très intéressantes. La famille Wilson va passer ses vacances dans… un ascenseur ! Dès 9 ans.

N° 922 - L'épreuve sentimentale (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Les deux jeunes gens se serrèrent la main cordialement et Jean s'éloigna à grands pas, se dirigeant vers le château. A une courte distance, il ralentit et balbutia, se parlant à lui-même : — Pauvre Roger !… Je comprends sa pensée, quoiqu'il la taise avec soin… Mais je n'y puis rien… Pierrette m'aime… et moi je l'adore, le hasard a tout fait. Il leva la tête et aperçut le château, tout près, qui formait une tache grise au milieu de la verdure. Son regard se tourna machinalement vers une des fenêtres du rez-de-chaussée et un sourire détendit ses traits. Aussitôt, il marcha plus vite et escalada le perron. Comme il franchissait le seuil, une voix rieuse s'écria : — Comme ru es resté longtemps, vagabond !…
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