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Il y a 3 produits.

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  • Auteurs: Douglas Evans
  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Jacques Orbières

N° 238 - Délires : Fête à tous les étages (Douglas Evans)

2,54 €
Avertissement : Que tu aimes déjà les livres ou que tu les découvres, si tu as envie de rire, la Collection  Délires  est pour toi. Attention, lecteur ! Tu vas pénétrer dans un monde excitant, où l'humour et la fantaisie te donnent rendez-vous pour te faire rigoler et peut-être pleurer… mais de rire ! Les Wilson arrivent dans un hôtel de San Francisco. Mais il n'y a plus une seule chambre de libre. Qu'importe ! Cette famille un peu… originale se contentera du minimum. Les voici tous les quatre dans une petite chambre très économique, qui a ses hauts et ses bas, certes, mais où l'on fait des rencontres très intéressantes. La famille Wilson va passer ses vacances dans… un ascenseur ! Dès 9 ans.

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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