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  • Auteurs: Drusilla Douglas
  • Auteurs: Hubert Ben Kemoun
  • Auteurs: Philippine Terris

Ma mère m'épuise (Hubert Ben Kemoun) - Le livre de poche N° 696

2,74 €
Mélusine est dans tous ses états : son petit ami, Bruno, vient de lui annoncer qu'il la quitte. Mais c'est compter sans sa mère, championne des déboires en tout genre ! Mélusine lui promet toujours de trouver une solution à ses problèmes. « Ma mère m'épuise », voilà le slogan que Mélusine pourrait écrire sur les murs de la ville, à la place des slogans racistes qui s'y trouvent. Mais quelqu'un d'autre a déjà pris la place… À partir de 12 ans

N° 289 - Fenêtre sur le Nil (Margaret Barker) - Le médecin de mes rêves (Drusilla Douglas)

2,55 €
Fenêtre sur le Nil (Margaret Barker) Quelle ne fut pas la surprise de Penny, à son arrivée en Egypte, d'apprendre qu'elle allait travailler avec le Dr Hamilton, l'homme qu'elle avait follement aimé quelques années plus tôt, et qui l'avait quittée sans un mot d'adieu… Hélas, à cette surprise, déjà douloureuse, devait bientôt s'en ajouter une autre, bien plus cruelle encore : elle aimait toujours Clive Hamilton ! Le médecin de mes rêves (Drusilla Douglas) Eprouver de l'attirance pour le frère jumeau d'un homme qu'on a aimé : Tansy ne trouvait rien de très étonnant à cela. Le Dr Struan MacLeod lui rappelait son frère Calum, et elle effectuait sans doute une sorte de transfert sur lui, voilà tout. Il n'y avait pas lieu d'attacher à cela de l'importance, et moins encore de tomber amoureuse pour de bon. Car Struan se révélerait certainement aussi lâche et déloyal que son frère. Elle devrait simplement s'efforcer de croiser cet homme le moins possible et, pour commencer, essayer d'éviter de penser à lui.

N° 3417 - Mensonge et passion (Philippine Terris)

3,75 €
Mensonge et passion Un roman inédit de Philippine Terris Extrait : J'eus un soupir exaspéré et, pendant une seconde, je crus que j'allais me jeter sur la toile, pour la lacérer. Je me contentai d'essuyer mon pinceau soigneusement. Par les vitres de l'atelier, une blafarde lumière d'hiver tombait sur le tableau que j'étais en train de peindre. Le costume de l'homme en rouge paraissait plus éclatant et plus pâle, son visage anguleux : — Mais les yeux… Je n'arrive pas à peindre les yeux… Et j'arrachai ma blouse, à grands gestes impatients. J'avais mal à la tête, une subite envie de pleurer. Il est terrible d'essayer de traduire en formes, en couleurs, ce qui est le reflet mouvant de votre imagination.. — Quelquefois, c'est même impossible, murmurai-je. Je détournai le regard de l'homme en rouge. Je finirais par le détester, ce visage sans regard, dont la bouche souriait, dédaigneuse…
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