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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Drusilla Douglas
  • Auteurs: Jean-Loup Craipeau

Conte du menteur (Jean-Loup Craipeau)

2,56 €
Samba se passionnait pour tout. Samba connaissait tant de choses qu'il passait pour quelqu'un d'étrange, voir un menteur et même un fameux raconter de bobards. Pour cette raison, on l'appelait souvent Samba-bobards. Un jour, son grand frère lui offre un petit rottweiler. Et les ennuis commencent… À partir de 9-10 ans.

N° 289 - Fenêtre sur le Nil (Margaret Barker) - Le médecin de mes rêves (Drusilla Douglas)

2,55 €
Fenêtre sur le Nil (Margaret Barker) Quelle ne fut pas la surprise de Penny, à son arrivée en Egypte, d'apprendre qu'elle allait travailler avec le Dr Hamilton, l'homme qu'elle avait follement aimé quelques années plus tôt, et qui l'avait quittée sans un mot d'adieu… Hélas, à cette surprise, déjà douloureuse, devait bientôt s'en ajouter une autre, bien plus cruelle encore : elle aimait toujours Clive Hamilton ! Le médecin de mes rêves (Drusilla Douglas) Eprouver de l'attirance pour le frère jumeau d'un homme qu'on a aimé : Tansy ne trouvait rien de très étonnant à cela. Le Dr Struan MacLeod lui rappelait son frère Calum, et elle effectuait sans doute une sorte de transfert sur lui, voilà tout. Il n'y avait pas lieu d'attacher à cela de l'importance, et moins encore de tomber amoureuse pour de bon. Car Struan se révélerait certainement aussi lâche et déloyal que son frère. Elle devrait simplement s'efforcer de croiser cet homme le moins possible et, pour commencer, essayer d'éviter de penser à lui.

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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