Accueil

Accueil

Il y a 2 produits.

Affichage 1-2 de 2 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Drusilla Douglas
  • Auteurs: Jean Vignaud

N° 289 - Fenêtre sur le Nil (Margaret Barker) - Le médecin de mes rêves (Drusilla Douglas)

2,55 €
Fenêtre sur le Nil (Margaret Barker) Quelle ne fut pas la surprise de Penny, à son arrivée en Egypte, d'apprendre qu'elle allait travailler avec le Dr Hamilton, l'homme qu'elle avait follement aimé quelques années plus tôt, et qui l'avait quittée sans un mot d'adieu… Hélas, à cette surprise, déjà douloureuse, devait bientôt s'en ajouter une autre, bien plus cruelle encore : elle aimait toujours Clive Hamilton ! Le médecin de mes rêves (Drusilla Douglas) Eprouver de l'attirance pour le frère jumeau d'un homme qu'on a aimé : Tansy ne trouvait rien de très étonnant à cela. Le Dr Struan MacLeod lui rappelait son frère Calum, et elle effectuait sans doute une sorte de transfert sur lui, voilà tout. Il n'y avait pas lieu d'attacher à cela de l'importance, et moins encore de tomber amoureuse pour de bon. Car Struan se révélerait certainement aussi lâche et déloyal que son frère. Elle devrait simplement s'efforcer de croiser cet homme le moins possible et, pour commencer, essayer d'éviter de penser à lui.

La maison du maltais (Jean Vignaud) - Collection Gründ illustrée N° 16

4,50 €
Extrait : Chapitre VII Le matin jeta dans la rue un autre Matteo, un Matteo impatient, qui, dans sa hâte de se mettre au travail, bouscula sans le reconnaître le fumigateur dont l'encens parfumé de benjoin distribue, pour la semaine, du bonheur dans chaque maison. Franchie la Porte de la mer, il enleva ses sandales pour courir plus vite vers le quai aux phosphates. Il avait suffi d'une nuit d'amour pour opérer ce miracle. Jamais Matteo n'avait connu semblables délices ; certains mots l'exaltaient encore comme si Safia eût été présente. Lui, pauvre portefaix, avait été salué par cette beauté des îles comme un prophète « Ia Robbi, Ia Allah, ô mon maître, ô mon Dieu ! » Safia entre ses bras avait soupiré ces paroles, le corps palpitant comme celui d'un pigeon qu'on étouffe. Et c'est pour réentendre ces mots, ces soupirs, qu'il lui fallait de l'argent. Il voulait, tout comme les notables qui cachaient des fortunes derrière leurs haies de tabias, dans la banlieue sfaxienne, pouvoir parer sa maîtresse, l'étourdir de cadeaux. Fini, désormais, le temps où Matteo musait d'une barque à l'autre, criblant de ses quolibets Maltais et Siciliens ; finies, les flâneries chez Gordina, les siestes sur le sable chaud du chenal. Tout cela était le passé, un cadavre que Safia avait piétiné de ses petits talons marqués de henné…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire