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Il y a 3 produits.

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  • Auteurs: E. de Riche
  • Auteurs: Françoise Hoville
  • Auteurs: Rebecca Brandewyne

N° 56 - Un amour défendu (Rebecca Brandewyne)

3,50 €
Lorsqu’il revient dans la ville de son enfance, Renzo Cassavettes n’est plus le petit Italien pauvre et rejeté de tous qu’il était autrefois. Journaliste réputé, il n’a plus rien à prouver à personne… sauf peut-être à ceux qui, douze ans plus tôt, l’ont accusé du meurtre de l’un de ses camarades et contraint à fuir loin des siens. Sauf aussi à la belle Sarah Kincaid, avec qui il a vécu un amour interdit à l’époque, et dont il est resté sans nouvelles depuis…  Mais son arrivée provoque bien des remous au sein de la petite communauté, où certains n’apprécient guère de voir revenir celui qui n’est à leurs yeux qu’un assassin. Comme pour leur donner raison, deux crimes sont commis, auxquels tout semble le lier. Et tandis que le piège se referme sur lui, Renzo découvre qu’il ne peut compter sur Sarah – Sarah qui ne l’a pas oublié elle non plus, et qui durant toutes ces années lui a caché un bouleversant secret…

N° 2838 - Le voyage à Valence d'après le roman de Françoise Hoville

2,90 €
Extrait : C'était un soir de mai. Lasse et déçue, je sortais d'un cinéma des Champs-Elysées. Je venais de voir un film que je pouvais qualifier de « navet », et je songeais qu'il eût été préférable de passer la soirée chez moi, en compagnie d'un bon livre. Mais j'avais voulu ainsi éviter la visite de Jean-Paul. Bien qu'il fût le meilleur des camarades, je m'efforçais de maintenir les distances… Vendu sans la nouvelle policière annoncée sur la première page

N° 935 - Pour gagner son coeur (E. de Riche)

3,05 €
Extrait : Une auto, conduite intérieure, franchit la porte des usines Martigny-Milchamp, à Suresnes, s'arrêta dans la cour, à côté du perron accédant aux bureaux de la direction et de l'administration. Un homme jeune, très élégant, vêtu d'un costume de sport de la meilleure coupe qui faisait valoir la sveltesse de sa taille, sauta à terre. Avisant un ouvrier qui, à quelques pas, s'activait auprès d'un châssis à peine carrossé, il s'approcha et, familier, dit : — Dédé, pendant que je monte chez M. Martigny, veux-tu jeter un coup d'oeil sur mon frein à pied, il y a un peu de jeu… L'interpellé releva à peine la tête. D'un coup de langue, il fit passer de la droite à la gauche de sa bouche un reste de cigarette collé à sa lèvre, répondit, maussade : — Mille regrets m'sieur le baron, peux pas quitter mon travail, adressez-vous à l'atelier de réparations…
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