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  • Auteurs: E. de Riche
  • Auteurs: L. Masse

N° 127 - Les étoiles (Mlle L. Masse) - Histoire de moustique (Marthe Rochenor)

14,00 €
16 Gravures Introduction  : « Maman, pourquoi les étoiles ne tombent-elles pas ? On les attache tous les soirs ? dis. Où vont-elles le matin ? » ajouta le gentil petit enfant qui s'intéressait à tout. Nous pensons que vous tous avez posé ces mêmes questions à vos chers Parents, qui vous ont répondu que chaque petite étoile brillante est en réalité un grand soleil et que, si elles paraissent toutes si petites, c'est qu'elles sont très, très loin d'ici. Autrefois, il y a longtemps, les gens n'étaient pas aussi savants que maintenant et les grandes personnes en savaient moins que bien des petits garçons et des petites filles de notre époque, et la plupart ignoraient ce qu'étaient les étoiles. Ils s'imaginaient toutes sortes de choses, et comme rien ne leur semblait plus beau que les astres brillant dans le ciel, ils leur donnaient le nom de leurs héros et héroïnes. La nuit venue, les étoiles apparaissaient et ces braves gens les regardaient en disant : « Tiens, ce soir Orphée joue de la lyre ! Oh ! comme Castor et Pollx brillent ! » Et ils étaient bien contents. Vous savez bien, mes chers enfants, que toutes ces histoires ne sont que des légendes ; mais si vous les lisez, elles vous aideront à vous rappeler le nom des étoiles. Puissent ces contes vous intéresser, tout en sachant que ces dieux, ces déesses, ces princes et ces princesses, ces géants et ces monstres n'ont existé que dans l'imagination de ceux qui ont écrit leurs histoires !

N° 935 - Pour gagner son coeur (E. de Riche)

3,05 €
Extrait : Une auto, conduite intérieure, franchit la porte des usines Martigny-Milchamp, à Suresnes, s'arrêta dans la cour, à côté du perron accédant aux bureaux de la direction et de l'administration. Un homme jeune, très élégant, vêtu d'un costume de sport de la meilleure coupe qui faisait valoir la sveltesse de sa taille, sauta à terre. Avisant un ouvrier qui, à quelques pas, s'activait auprès d'un châssis à peine carrossé, il s'approcha et, familier, dit : — Dédé, pendant que je monte chez M. Martigny, veux-tu jeter un coup d'oeil sur mon frein à pied, il y a un peu de jeu… L'interpellé releva à peine la tête. D'un coup de langue, il fit passer de la droite à la gauche de sa bouche un reste de cigarette collé à sa lèvre, répondit, maussade : — Mille regrets m'sieur le baron, peux pas quitter mon travail, adressez-vous à l'atelier de réparations…
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