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  • Auteurs: Edward van de Vendel
  • Auteurs: Evelyne Brisou-Pellen
  • Auteurs: Félix Léonnec

Anna Maria Sofia et Petit Max (Edward van de Vendel, Ingrid Godon)

4,24 €
Chaque jour, Petit Max part en promenade avec Anna Maria Sofia. Ils ont leur itinéraire. Max est petit, mais c'est lui qui veille sur la vieille dame. Il connaît des tas de choses sur sa vie, même celles qu'elle a oubliées. Et il y en a beaucoup. A partir de 5 ans.

Un cheval de rêve (Evelyne Brisou-Pellen) - Nathan Poche N° 50

2,56 €
Ce cheval noir, dans les prairies du château, Marie en rêve. Seulement elle n'est qu'une petite paysanne… Marie aime apprendre. Et c'est une grande chance pour cette fille de paysans bretons du début du siècle dernier de pouvoir aller à l'école. Même si elle est obligée pour s'y rendre de traverser la lande en pleine nuit. Marcher seule dans la campagne, c'est inquiétant… Mais le plus dur à vivre, c'est la méchanceté d'Ambroise qui s'amuse à la terroriser. Ah ! Si Marie avait un cheval, tout serait plus facile… Pour les 10-12 ans.

Le jongleur le plus maladroit (Evelyne Brisou-Pellen) - Demi-lune N° 27

2,74 €
L'intendant collecte l'impôt avec âpreté et cruauté. Cela ne plaît guère au jongleur Aymeri, qui va se servir de son adresse de saltimbanque et de son espièglerie pour, de sa maladresse calculée, toujours contrecarrer les actes injustes du fonctionnaire. On tremble pour Aymeri. On le croit emprisonné, pendu, noyé. Mais il réapparaît là où on ne l'attendait pas… Pour les 7-9 ans.

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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