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  • Auteurs: Eléonore Fernaye
  • Auteurs: Philippe Jean
  • Auteurs: Thea Lovan
La famille d'Arsac T1 : Scandaleuse Elisabeth (Éléonore Fernaye) - Milady Romance
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La famille d'Arsac T1 : Scandaleuse Elisabeth (Éléonore Fernaye)

3,74 €
Paris, 1778. La ravissante Élisabeth d’Arsac attire à elle tous les regards. Cette jeune femme éprise de liberté refuse tous ses prétendants car elle veut préserver son indépendance et éviter les désagréments du mariage. Pourtant, elle ne résiste pas aux attraits d'une liaison clandestine avec le séduisant Américain qu'elle a rencontré au bal masqué. Cependant l'idylle tourne court lorsqu'il demande sa main. Elisabeth n'envisage pas une seule seconde de s'encombrer d'un mari, mais le destin en a peut-être décidé autrement…

N° 3339 - Une histoire d'amour (Thea Lovan) - Requiem pour un amour perdu (Rae Foley)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3339 à détacher Une histoire d'amour d'après le roman de Thea Lovan Un jour que la jeune romancière Lilian Brooks, en mal d'inspiration, se promène le long de la plage de Santa Barbara, en Californie, elle fait la connaissance d'un vieux monsieur. Tassé tout seul sur un banc, il jette quelques miettes aux mouettes. Une étrange amitié les lie aussitôt. Glenn semble seul, Lilian ignore tout de sa vie privée. Elle ne sait même pas où il habite. Le seul nom qui revient sans cesse dans les conversations, c'est celui de John, son petit-fils. John qui sait tout faire. John dont l'opinion sur toute chose est souveraine. John, huitième merveille du monde. Lilian est d'autant plus excédée par cette avalanche de louanges que ce prodige de la nature semble laisser sans remords son grand-père végéter dans une semi-misère. Il faudra que Glenn tombe malade pour que le voile se lève sur sa vie et que Lilian rencontre enfin John West. Ce qu'ils découvrent chez l'un et chez l'autre alors correspond-il à ce qu'ils avaient imaginé ? Requiem pour un amour perdu d'après le roman policier de Rae Foley.

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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