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  • Auteurs: Elisabeth Kyle
  • Auteurs: Hélène Montardre
  • Auteurs: Marguerite Soleillant

Les apprentis chercheurs : Sur la piste de l'arc-en-ciel (Hélène Montardre)

2,56 €
Retrouvez Lisbeth et Matt, les deux apprentis chercheurs attachants dans des aventures palpitantes ! Matt est persuadé qu'un trésor se cache au pied de l'arc-en-ciel qui s'est déployé dans les champs non loin de la maison. Déterminé à trouver des joyaux par milliers, il entraîne à l'aventure sa sœur Lisbeth. En chemin, ils croisent d'étranges personnages, eux aussi à la recherche d'un trésor. Mais l'arc-en-ciel leur prépare une surprise bien plus grande qu'une vulgaire caisse remplie d'or et de diamants… Source : Editions Nathan

N° 87 - Au bord de l'estuaire (Elisabeth Kyle)

3,54 €
1900, Glasgow. Katharine Greig a vécu toute son enfance dans un quartier modeste, seule avec sa mère, issue d'une famille de la haute bourgeoisie de la ville, mais réprouvée par ses parents et leurs amis (la jeune femme s'était enfuie pour épouser un peintre, Albany Greig, qui, par la suite, l'abandonna après avoir sombré dans l'alcoolisme et mourut de misère…). A présent, Katharine, jeune et ravissante orpheline, vient d'hériter de sa tante Jessie et s'est installée dans sa somptueuse demeure. Et voici d'Andrew Elliot, dont Katharine est éprise, vient lui faire ses adieux : son père, sir John Elliot, l'envoie au Pérou où il doit administrer une mine d'étain. La jeune fille est bouleversée par ce départ précipité, et son trouble n'échappe point à la gouvernante, Lilian Cowan, dont la vie renferme un secret, connu du Dr Pattullo… Les mystères vont se multiplier autour de Katharine Greig, jusqu'au coup de théâtre final !

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
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