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  • Auteurs: Elizabeth August
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Lili S. Junod

N° 1396 - Les noces de Celina (Elizabeth August)

2,15 €
Parce qu'il existe mille et une façons de dire « oui ». Originaire de New York, le jeune Dr Prescott vient s'installer à Smytheshire, petite ville du Massachusetts, pour remplacer un confrère sur le point de prendre sa retraite. Tout de suite séduit par cette charmante bourgade, il est enchanté par sa nouvelle existence. Jusqu'au jour où, afin de rassurer son employeur, un notable qui semble mettre en doute sa stabilité, il se voit contraint de se marier. Il se résout alors à épouser Celina qui, de son côté, désire avec un enfant sans renoncer à son indépendance. Bien sûr, rien n'empêche les deux jeunes gens de continuer à vivre ensemble après avoir rempli leur contrat. A condition, toutefois, que l'autre accepte de s'engager... Mais peut-on avouer ses sentiments sans se ridiculiser, quand on a juré de ne jamais se laisser prendre au piège de l'amour ?

N° 1631 - La cavalière de minuit (Lili S. Junod)

3,74 €
Extrait : Juste Delrode vida sa pipe d'un geste familier en la toquant à petits coups secs contre le mur de l'âtre où rougeoyaient les derniers tisons. Son visage boucané par les intempéries, la vie en plein air, les épreuves des dernières années de guerre, reflétait une expression maussade, accentuant la dureté du regard enfoncé et des lèvres minces qui jamais ne souriaient. Sa femme, la Maria, effacée, humble, toujours craintive devant ce maître redouté qui, jadis, l'avait choisie pour sa beauté, alors qu'elle n'était qu'une pauvre orpheline élevée par les soeurs, épiait en tremblant les signes de contrariété silencieuse qu'elle voyait figer les traits de Juste. Sa bonne figure douce gardait malgré le temps et l'âge une finesse exquise, le même bleu pur des yeux, un bleu de vitrail au soleil, étonnamment clair. Soudain tonna la voix de son homme : — Dis donc, la Maria ! Sais-tu ben qu'not'fille a fait tant d'progrès qu'la maîtresse d'école voudrait qu'al aille finir d'étudier dans eun'ville de par ici ? Ça m'plaît point, j'te l'dis tout franc…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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