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  • Auteurs: Elizabeth August
  • Auteurs: Lili S. Junod
  • Auteurs: Martine Delerm

Clémence et le grand parapluie (Martine Delerm)

8,00 €
Clémence aime être seule. Sous son parapluie rouge, elle est bien au chaud et se complaît dans sa rêverie mais voilà que peu à peu, le parapluie grandit… Il était compagnon, il était protecteur, il devient encombrant et finit par interdire toute communication avec autrui. Et Clémence rêve parfois qu'il s'envole, pour s'échapper.  La timidité qui donnait du prix aux sentiments et aux sensations éprouvées, enferme Clémence dans ses peurs et sa solitude. Elle rapetisse, le parapluie envahit peu à peu les illustrations, Clémence disparaît sous le rouge… Saura-t-elle réagir à temps ? Trouvera-t-elle quelqu'un pour l'aider ? Martine Delerm aborde de façon ludique et poétique le douloureux problème de la timidité, du manque de confiance en soi et d'un dilemme cher à l'enfance : la peur et l'envie de grandir.

N° 1396 - Les noces de Celina (Elizabeth August)

2,15 €
Parce qu'il existe mille et une façons de dire « oui ». Originaire de New York, le jeune Dr Prescott vient s'installer à Smytheshire, petite ville du Massachusetts, pour remplacer un confrère sur le point de prendre sa retraite. Tout de suite séduit par cette charmante bourgade, il est enchanté par sa nouvelle existence. Jusqu'au jour où, afin de rassurer son employeur, un notable qui semble mettre en doute sa stabilité, il se voit contraint de se marier. Il se résout alors à épouser Celina qui, de son côté, désire avec un enfant sans renoncer à son indépendance. Bien sûr, rien n'empêche les deux jeunes gens de continuer à vivre ensemble après avoir rempli leur contrat. A condition, toutefois, que l'autre accepte de s'engager... Mais peut-on avouer ses sentiments sans se ridiculiser, quand on a juré de ne jamais se laisser prendre au piège de l'amour ?

N° 1631 - La cavalière de minuit (Lili S. Junod)

3,74 €
Extrait : Juste Delrode vida sa pipe d'un geste familier en la toquant à petits coups secs contre le mur de l'âtre où rougeoyaient les derniers tisons. Son visage boucané par les intempéries, la vie en plein air, les épreuves des dernières années de guerre, reflétait une expression maussade, accentuant la dureté du regard enfoncé et des lèvres minces qui jamais ne souriaient. Sa femme, la Maria, effacée, humble, toujours craintive devant ce maître redouté qui, jadis, l'avait choisie pour sa beauté, alors qu'elle n'était qu'une pauvre orpheline élevée par les soeurs, épiait en tremblant les signes de contrariété silencieuse qu'elle voyait figer les traits de Juste. Sa bonne figure douce gardait malgré le temps et l'âge une finesse exquise, le même bleu pur des yeux, un bleu de vitrail au soleil, étonnamment clair. Soudain tonna la voix de son homme : — Dis donc, la Maria ! Sais-tu ben qu'not'fille a fait tant d'progrès qu'la maîtresse d'école voudrait qu'al aille finir d'étudier dans eun'ville de par ici ? Ça m'plaît point, j'te l'dis tout franc…
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