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  • Auteurs: Camille Arnold
  • Auteurs: Elizabeth August
  • Auteurs: William Irish

N° 1676 - La clause secrète (Camille Arnold)

2,92 €
Extrait : Jacqueline repoussa lentement le tiroir du classeur dont le carton vert était déchiré, après y avoir rangé la traite des établissements Phalippou et Fils… Elle était lasse. Non pas lasse de trop travailler — son emploi de dactylo-facturière chez Fradet , « couverture, plomberie, sanitaire », n'était pas harassant ! — mais, au contraire, de faire un travail monotone et ennuyeux auquel elle ne parvenait pas à s'intéresser. Tandis qu'elle cherchait dans une boîte déglinguée un morceau de sparadrap pour arranger tant bien que mal le tiroir défaillant, elle regardait du coin de l'oeil, avec une sorte d'envie, le comptable, M. Plumet…

N° 3313 - Une douce odeur de jasmin (Jeanne Stephens) - Un cadavre au tombeau (William Irish)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3313 à détacher Une douce odeur de jasmin  d'après le roman de Jeanne Stephens St. Augustine, au mois de mai, est ravissant. Carol Adamson, goûte d'autant plus les charmes de cette station balnéaire de Floride qu'elle est là pour travailler. Elle doit illustrer un livre de son cher ami Lloyd, écrivain de renom. Un jour, sur la plage, une fillette l'interpelle. Amanda est seule. Rosa, la Mexicaine la surveille à quelques pas. La petite fille lui parle de son père, trop occupé par ses affaires pour se soucier d'elle. Le désarroi d'Amanda serre le coeur de Carol. Chaque matin, pendant une semaine, elle se rend sur la plage et passe une demi-heure à jouer avec Amanda, sous l'oeil neutre de la Mexicaine. Un jour enfin Amanda invite son amie à venir dîner sur le bateau de son père, Dan Darcy. La stupéfaction est grande quand Carol reconnaît en Darcy l'inconnu qui l'a littéralement chassée, quelque temps auparavant, d'une plage où elle faisait des croquis… Un cadavre au tombeau  d'après une nouvelle policière de William Irish Extrait : Howie m'attendait à la gare avec cet air mi-figue mi-raisin qu'ont les jeunes neveux lorsqu'une vieille fille de tante leur arrive de sa province. Moi, j'espérais bien qu'on se serait manqués, mais j'ai joué de malchance. Je n'étais pas venue à New York depuis 1927, et il y avait quelques fantaisies que j'aurais voulu me payer. Oh ! rien de bien scandaleux…

N° 1396 - Les noces de Celina (Elizabeth August)

2,15 €
Parce qu'il existe mille et une façons de dire « oui ». Originaire de New York, le jeune Dr Prescott vient s'installer à Smytheshire, petite ville du Massachusetts, pour remplacer un confrère sur le point de prendre sa retraite. Tout de suite séduit par cette charmante bourgade, il est enchanté par sa nouvelle existence. Jusqu'au jour où, afin de rassurer son employeur, un notable qui semble mettre en doute sa stabilité, il se voit contraint de se marier. Il se résout alors à épouser Celina qui, de son côté, désire avec un enfant sans renoncer à son indépendance. Bien sûr, rien n'empêche les deux jeunes gens de continuer à vivre ensemble après avoir rempli leur contrat. A condition, toutefois, que l'autre accepte de s'engager... Mais peut-on avouer ses sentiments sans se ridiculiser, quand on a juré de ne jamais se laisser prendre au piège de l'amour ?

N° 1704 - Au bord de l'abîme (Camille Arnold)

3,74 €
Extrait : Gustave Herbelot reposa le vase de Sèvres dont, machinalement, il avait regardé la marque. On aurait dit qu'il faisait, sans y songer, l'inventaire de ce qu'avait laissé, en mourant, Suzanne Teyssière. De tous les bibelots qui ornaient ce salon, le plus ravissant était sans conteste Odile devant qui Gustave vint se planter, les mains aux poches : — Alors, petite ? Nous sommes d'accord ? La jeune fille leva vers lui un regard craintif : — Il le faut bien, tonton. Elle n'était pas sa nièce, mais celle de sa femme, Fernande, qui était morte deux ans plus tôt. Décidément, on ne vivait pas vieux, chez les Guitton : les deux soeurs, Fernande et Suzanne, avaient été orphelines de bonne heure. Puis Fernande était morte à trente-huit ans et voici que Suzanne venait à son tour d'être emportée en quelques jours par une angine de poitrine. Il restait à Gustave, en tout de sa belle famille, cette nièce de dix-sept ans dont il avait été désigné le tuteur…

N° 1567 - L'inutile sacrifice (Camille Arnold)

3,05 €
Extrait : Chaque fois que Madeleine entend l'ascenseur se mettre en marche les aiguilles de son tricot s'immobilisent et elle suspend presque son souffle pour tendre l'oreille. Est-ce lui, cette fois ? Non, l'arrêt se fait à un autre étage... et elle en est, à la fois, déçue et contente : déçue, parce qu'elle languit que Claude soit rentrée... et contente, parce qu'elle pourra faire encore quelques « rangs » de plus à son pull-over. Comment sera-t-il ce soir ? Ne sera-t-il pas trop fatigué par le métro et ses bousculades aux heures de « pointe », ses innombrables escaliers de correspondance ? Ne sera-t-il pas trop énervé par les leçons données à des aspirantes-pianistes qui n'ont pas la moindre disposition pour la musique mais qui, avant de savoir faire une gamme, sont impatientes de pouvoir jouer Tristesse de Chopin à leur première réception ? Ne sera-t-il pas trop démoralisé par une entrevue avec quelque directeur de théâtre ou quelque éditeur qui, après lui avoir prodigué de grandes louanges pour ses oeuvres, se sera répandu en soupirs pour se plaindre de la crise, des frais chaque jour plus lourds qui l'obligent à « ne miser que sur des noms connus du public »…
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