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  • Auteurs: Elizabeth Kyle
  • Auteurs: Janice MacDonald
  • Auteurs: Jean Glachant

N° 334 - La Dame blanche de Cracovie (Elizabeth Kyle)

2,16 €
Lorsqu'elle apparaît, la Dame blanche de Cracovie annonce une catastrophe... Mais l'innocent Mr Latimer ne peut deviner qu'en allant à la recherche d'un dangereux et tout-puissant homme d'affaires, Julius Hermani, il va rencontrer la mystérieuse Dame blanche… Ou celle qui perpétue la légende de cette maléfique ancêtre de « Mademoiselle », la gouvernante de Lobelia et de Carlina Latimer. Dans l'Autriche des Strauss, la Pologne déchirée entre les empires russe et autrichien, cette étrange histoire entraîne une belle jeune fille anglaise du siècle dernier vers un destin tragique.

N° 881 - Le dernier secret (Janice MacDonald)

2,25 €
Au cours d’une croisière à bord d’un voilier, une femme d’une soixantaine d’années, Diana Lynsky disparaît. Accident, suicide, disparition volontaire, meurtre ? Nul ne sait ce qui s’est passé… Trois mois plus tard, alors que l’affaire est classée, Ava Linsky, la fille de la disparue, fait la connaissance de Scott Campbell, journaliste et nouveau venu dans l’île de Catalina où vit la famille de la jeune femme. Intrigué par le drame, Scott mène son enquête personnelle, mais Ava hésite à l’encourager dans cette voie. En effet, elle est partagée entre deux sentiments : d’un côté, le besoin de connaître la vérité sur la disparition de sa mère, de l’autre la peur de voir Scott remuer le passé de sa famille et révéler ainsi des secrets enfouis depuis longtemps...

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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