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  • Auteurs: Elizabeth Kyle
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Philippe Aymond

N° 334 - La Dame blanche de Cracovie (Elizabeth Kyle)

2,16 €
Lorsqu'elle apparaît, la Dame blanche de Cracovie annonce une catastrophe... Mais l'innocent Mr Latimer ne peut deviner qu'en allant à la recherche d'un dangereux et tout-puissant homme d'affaires, Julius Hermani, il va rencontrer la mystérieuse Dame blanche… Ou celle qui perpétue la légende de cette maléfique ancêtre de « Mademoiselle », la gouvernante de Lobelia et de Carlina Latimer. Dans l'Autriche des Strauss, la Pologne déchirée entre les empires russe et autrichien, cette étrange histoire entraîne une belle jeune fille anglaise du siècle dernier vers un destin tragique.

Les voleurs de villes (Pierre Christin, Philippe Aymond)

8,40 €
En reportage à Jérusalem, Graziella Plattner et Charlotte Estève visionnent des images prises la veille au Mur des Lamentations. Elles tombent sur une anomalie visuelle qu'elles imputent tout d'abord à un défaut de filmage. Mais non ! Un pan entier du Mur a disparu dans la nuit ! Tandis que Graziella part pour un mystérieux rendez-vous vers la Mer Morte, Charlotte regagne Paris. Au siège de leur agence vidéo, elle découvre qu'il se passe de drôles de choses aussi dans la capitale, puisque des bouts d'immeubles ou de monuments semblent avoir été embarqués par des vandales. Et ce n'est qu'un début ! Car une partie des richesses architecturales de la planète est bel et bien en train de s'envoler sans laisser de traces. Derrière la belle Graziella et l'astucieuse Charlotte va s'engager une quête haletante, où se lit aussi l'aventure urbaine du monde moderne.

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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