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  • Auteurs: Elizabeth Oldfield
  • Auteurs: Francine Robert
  • Auteurs: Heather Allison

N° 1520 - Noces au studio (Heather Allison)

2,95 €
Alicia était atterrée. Georgia, qui présentait avec elle un show télévisé battant des records d'audience, devait s'arrêter de travailler pendant quelque temps ! L'absence de son amie, songeait la jeune femme, modifierait fortement le ton du numéro spécial Saint-Valentin, dont la formule originale, qui consistait à diffuser des demandes en mariage filmées en direct, remportait toujours un franc succès auprès du public. Mais, si le congé forcé de sa partenaire attristait la jeune femme, elle considérait son remplacement au pied levé par Tony Domenico, le producteur de l'émission, comme une véritable catastrophe. Car comment diable un homme si pragmatique, si sévère, bref, si dépourvu de romantisme, serait-il à même de faire rêver les téléspectateurs et, à plus forte raison, les téléspectatrices ?

N° 858 - Rendez-vous à Rio (Elizabeth Oldfield)

2,15 €
— Excusez mon indiscrétion, mais… franchement, je ne comprends pas ! Quand on a réussi à séduire un homme aussi superbe, et qu'on est devenue sa femme… Pourquoi le quitter ? Une telle perfection ne court pas les rues, même à Rio ! Enfin évidemment, si vous ne l'aimez plus… Chris eut un petit sourire triste. Ne plus l'aimer ? Comme l'eût-elle pu ? Depuis six mois, il n'était pas une nuit où son mariage ne la hantât… Janio, Janio, sa peau couleur de bronze, son sourire éclatant… Non, elle ne pouvait pas l'avoir perdu à tout jamais !

N° 1899 - Jamais l'amour n'a su compter (Francine Robert)

2,92 €
Extrait  : — Je suis certain, en tout cas, de faire un très mauvais chef d'entreprise, un industriel exécrable ! — A ton âge, mon petit Roland, on n'est certain de rien, permets-moi de te le dire ! Et les deux interlocuteurs s'étaient dressés de chaque côté du bureau ministre qui les séparait. Un petit panneau de plexiglas posé sur la surface polie du meuble apprenait, dès leur entrée, aux visiteurs, qu'ils se trouvaient en face de « Lucien Vaudé, directeur général ». Pour la première fois de sa vie, cet homme d'affaires accoutumé à ne trouver devant lui que docilité, obéissance passive, se heurtait à une volonté qui valait peut-être la sienne : celle de son fils unique, Roland. Ce dernier venait d'avoir vingt-deux ans et on employait habituellement, pour le décrire, trois adjectifs que venait renforcer le mot « très » : « …Très grand, très brun, très sympathique… »…
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