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  • Auteurs: Elizabeth de Guise
  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Hady White

L'otage du roi de coeur (Elizabeth de Guise)

4,05 €
Constance a eu une enfance malheureuse, lugubre, dans le château de Brede. A la mort de son père, puritain austère qui la détestait, elle se retrouve orpheline et menacée d'être expulsée de chez elle. Le domaine est maintenant la propriété du comte de Brede, fervent partisan du roi Charles II. Amusé par son impertinence, Henry de Brede l'épouse et l'emmène à la cour. Constance est éblouie par son séduisant mari et en tombe vite follement amoureuse. Hélas, il n'en va pas de même pour le comte… La jeune femme parviendra-t-elle à trouver le bonheur ?

N° 179 - Mademoiselle de Paris (Hady White) - Robert MONTGOMERY en couverture

3,50 €
Mademoiselle de Paris Roman d'amour inédit de Hady White Extrait : Le refrain chanté par des voix jeunes et fraîches, emplissait l'atelier de couture. Tout en chantant, les cousettes s'affairaient sous la vigilante direction de Mademoiselle Aurore, chef d'atelier. — Pressons-nous, Mesdemoiselles, la princesse de Liturie vient à onze heures pour l'essayage de sa robe du soir, ne l'oubliez pas. — On s'presse, Mademoiselle, on s'presse… — Elle en a de la chance, la première… Elle la verra, cette fameuse princesse de Liturie… fit Lulu, la petite arpète, avec envie. — Encore une poseuse, une pimbêche, maugréa la grande Laure… sous le prétexte d'incognito, elle se fait habilement une belle publicité… — Il n'est pas dit, protesta Simone. Elle est peut-être très simple au contraire et veut éviter de faire parler d'elle. — Bien entendu, elle a toutes les qualités « ta princesse », persifla Laure et tu te rengorges joliment depuis que tu es son sosie…

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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