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Il y a 5 produits.

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  • Auteurs: Elizabeth de Guise
  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Sophie Marvaud

Winx Club T31 : Le secret des mini-fées (Sophie Marvaud)

2,74 €
Les Winx doivent absolument retrouver la dernière fée sur Terre avant les mystérieux magiciens du Cercle Noir. Elles volent jusqu'au village des mini-fées pour que l'Arbre magique leur révèle où la chercher. Mais le village est désert… Qu'est-il arrivé aux mini-fées ? De 8 à 12 ans.

L'otage du roi de coeur (Elizabeth de Guise)

4,05 €
Constance a eu une enfance malheureuse, lugubre, dans le château de Brede. A la mort de son père, puritain austère qui la détestait, elle se retrouve orpheline et menacée d'être expulsée de chez elle. Le domaine est maintenant la propriété du comte de Brede, fervent partisan du roi Charles II. Amusé par son impertinence, Henry de Brede l'épouse et l'emmène à la cour. Constance est éblouie par son séduisant mari et en tombe vite follement amoureuse. Hélas, il n'en va pas de même pour le comte… La jeune femme parviendra-t-elle à trouver le bonheur ?

Winx Club T2 : Bienvenue à Magix (Sophie Marvaud)

2,12 €
Stella aide sa nouvelle amie Bloom à se rendre au royaume de Magix suivre les cours d'Alféa, l'université des fées. Bloom souhaite de toutes ses forces devenir une fée, mais les sorcières de la Tour Nuage, les Trix, ont l'intention de lui mener la vie dure… Heureusement, elle va aussi se faire de vraies amies !

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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