Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Trier par :
Best sellers Pertinence Nom, A à Z Nom, Z à A Prix, croissant Prix, décroissant
Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Claudette Degéa
  • Auteurs: Elizabeth de Guise
  • Auteurs: Katrina Britt
Villa Faustino - Katrina Britt - Harlequin Série Club N° 189
  • Nouveau

N° 189 - Villa Faustino (Katrina Britt)

2,74 €
Joanna adore l'île des Canaries où elle vit paisiblement avec son père. Elle ne se lasse pas des matins radieux, des senteurs délicates qui flottent dans l'air léger. Elle emploie son temps à peindre, à rendre toute cette beauté de la toile, et elle a du talent. Mais l'arrivée d'une jeune Anglaise va troubler sa quiétude. La nouvelle venue décide d'épouser le marquis Ramon de Orleron y Faustino, le meilleur ami de Joanna, et cette dernière découvre trop tard qu'il a dans son coeur une place bien plus grande…
L'otage du roi de coeur - Elizabeth de Guise - Harlequin Série Royale N° 59

L'otage du roi de coeur (Elizabeth de Guise)

4,05 €
Constance a eu une enfance malheureuse, lugubre, dans le château de Brede. A la mort de son père, puritain austère qui la détestait, elle se retrouve orpheline et menacée d'être expulsée de chez elle. Le domaine est maintenant la propriété du comte de Brede, fervent partisan du roi Charles II. Amusé par son impertinence, Henry de Brede l'épouse et l'emmène à la cour. Constance est éblouie par son séduisant mari et en tombe vite follement amoureuse. Hélas, il n'en va pas de même pour le comte… La jeune femme parviendra-t-elle à trouver le bonheur ?
Son ami d'enfance (Claudette Degéa) - Collection Delphine N° 266 - Les Éditions Mondiales

N° 266 - Son ami d'enfance (Claudette Degéa)

2,95 €
Extrait : « Trois mille deux cent cinquante francs légers ! Tout ce qu'il y a de plus légers ! Ma pauvre Isabelle, ce n'est pas le moment de faire des folies. A moins qu'il ne tombe dans ton escarcelle, la fortune d'un oncle d'Amérique ou que tu ne fasses la conquête d'un nabab cousu d'or, il faudra apprendre à ton estomac à taire ses exigences et aller demander asile à l'Armée du Salut. Si j'étais sténodactylo, infirmière ou vendeuse en alimentation, il n'y aurait pas de problèmes. Mon couvert et mon gîte seraient assurés. Mais quand on est journaliste qu'on a l'obstination d'aimer son métier au point de ne pas vouloir en exercer un autre, on connaît le destin sans gloire de ceux qui meurent de faim. » D'une main rageuse, Isabelle Vernet lança son porte-monnaie sur le meuble le plus proche et déplia un journal qu'elle étala sur son lit…
Retour en haut
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire

Vous avez déjà un compte?
Connectez-vous à la place Ou Réinitialiser le mot de passe