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  • Auteurs: Elizabeth de Guise
  • Auteurs: Louise Gravise
  • Auteurs: Marcel Priollet

L'otage du roi de coeur (Elizabeth de Guise)

4,05 €
Constance a eu une enfance malheureuse, lugubre, dans le château de Brede. A la mort de son père, puritain austère qui la détestait, elle se retrouve orpheline et menacée d'être expulsée de chez elle. Le domaine est maintenant la propriété du comte de Brede, fervent partisan du roi Charles II. Amusé par son impertinence, Henry de Brede l'épouse et l'emmène à la cour. Constance est éblouie par son séduisant mari et en tombe vite follement amoureuse. Hélas, il n'en va pas de même pour le comte… La jeune femme parviendra-t-elle à trouver le bonheur ?

N° 1159 - Rivale de sa mère (Marcel Priollet)

3,05 €
Extrait : Sur la grande route de Paris, qui mène d'Enghien à Montmorency, deux jeunes filles montaient allègrement la côte. Leurs ombrelles ouvertes, aux tons chatoyants, jetaient sur leurs visages de jolis reflets. Une de ces jeunes têtes était blonde, comme des épis d'or, avec un frais visage tout rond, aux traits menus, aux yeux espiègles. C'était Yvonne Nangis, une jeune Parisienne venue pour passer la journée à la campagne auprès de son amie intime, Germaine Berlac. C'était ainsi que se nommait la plus grande des deux promeneuses, une brune, très pâle, aux grands yeux noirs et douloureux, à l'expression résignée de celles qui ont déjà beaucoup souffert. A la minute présente, la jeune fille oubliait sans doute ses peines, car un rire très doux, très cristallin, fusait par instant entre ses lèvres. — Je n'en puis plus ! soupira tout à coup la blonde Yvonne. Je renonce à aller plus loin. — Encore un peu d'endurance, et tes efforts seront récompensés ! encouragea Germaine en souriant…

N° 1698 - Quand l'amour veut vivre (Louise Gravise)

3,05 €
Extrait : — Le malade est perdu... Jean Lallier redressa sa haute taille, et foudroya du regard son assistant. — Je le sauverai ! Si vous flanchez, Lausac, allez ailleurs ! L'opération était assurément particulièrement délicate. Un massage du coeur avait déjà paré à une première alerte. Le patient était âgé et les réactions de l'organisme trop lentes. Le Dr Lallier l'avait prévu. Mais il fallait tenter cette intervention. C'était cela ou la mort inévitable. En toute conscience, il avait choisi. — Le coeur faiblit ! annonça l'anesthésiste, de sa voix calme, impersonnelle, comme perdue dans le silence blanc de la salle. Lallier sentait la sueur lui perler le long des tempes et tomber goutte à goutte dans son col, dans son masque… Un flot de sang jaillit d'une veine qui venait de céder sous une pince. Lallier leva les yeux et surprit un sourire narquois sur le visage de l'interne ; un jeune homme qui croyait tout savoir et se targuait de faire des diagnostics infaillibles…
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