Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Elizabeth de Guise
  • Auteurs: Jeanne Stephens
  • Auteurs: Michel Nour

L'otage du roi de coeur (Elizabeth de Guise)

4,05 €
Constance a eu une enfance malheureuse, lugubre, dans le château de Brede. A la mort de son père, puritain austère qui la détestait, elle se retrouve orpheline et menacée d'être expulsée de chez elle. Le domaine est maintenant la propriété du comte de Brede, fervent partisan du roi Charles II. Amusé par son impertinence, Henry de Brede l'épouse et l'emmène à la cour. Constance est éblouie par son séduisant mari et en tombe vite follement amoureuse. Hélas, il n'en va pas de même pour le comte… La jeune femme parviendra-t-elle à trouver le bonheur ?

N° 3313 - Une douce odeur de jasmin (Jeanne Stephens) - Un cadavre au tombeau (William Irish)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3313 à détacher Une douce odeur de jasmin  d'après le roman de Jeanne Stephens St. Augustine, au mois de mai, est ravissant. Carol Adamson, goûte d'autant plus les charmes de cette station balnéaire de Floride qu'elle est là pour travailler. Elle doit illustrer un livre de son cher ami Lloyd, écrivain de renom. Un jour, sur la plage, une fillette l'interpelle. Amanda est seule. Rosa, la Mexicaine la surveille à quelques pas. La petite fille lui parle de son père, trop occupé par ses affaires pour se soucier d'elle. Le désarroi d'Amanda serre le coeur de Carol. Chaque matin, pendant une semaine, elle se rend sur la plage et passe une demi-heure à jouer avec Amanda, sous l'oeil neutre de la Mexicaine. Un jour enfin Amanda invite son amie à venir dîner sur le bateau de son père, Dan Darcy. La stupéfaction est grande quand Carol reconnaît en Darcy l'inconnu qui l'a littéralement chassée, quelque temps auparavant, d'une plage où elle faisait des croquis… Un cadavre au tombeau  d'après une nouvelle policière de William Irish Extrait : Howie m'attendait à la gare avec cet air mi-figue mi-raisin qu'ont les jeunes neveux lorsqu'une vieille fille de tante leur arrive de sa province. Moi, j'espérais bien qu'on se serait manqués, mais j'ai joué de malchance. Je n'étais pas venue à New York depuis 1927, et il y avait quelques fantaisies que j'aurais voulu me payer. Oh ! rien de bien scandaleux…

N° 505 - Je t'adore ! (Michel Nour)

2,92 €
Extrait : Devant la porte du dancing, les deux jeunes gens s'arrêtèrent et Maurice Féraud tendit la main à son ami Raymond Landier. — Tu n'entres pas un instant avec moi ? demanda celui-ci. Voyons, pour une fois, laisse-toi tenter ! Maurice secoua la tête. — Je ne suis nullement tenté, je t'assure. — Tu détestes la danse ! — Je ne la déteste pas, mais je n'éprouve pas comme toi un plaisir de se trémousser comme tu dis, protesta vivement Raymond, il y a aussi celui de tenir dans ses bras une jolie créature qu'emporte l'ivresse du  rythme et qu'on sent contre soi, frémissante, palpitante, offerte comme une fleur qui vous grise de sa beauté et de son parfum…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire