Accueil

Accueil

Il y a 2 produits.

Affichage 1-2 de 2 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Emile Erckmann
  • Auteurs: Jeanne Stephens

L'ami Fritz (Emile Erckmann, Alexandre Chatrian)

7,96 €
« La tête froide, le ventre libre et les pieds au chaud », telle est la devise de Fritz Kobus, célibataire endurci, qui aime par-dessus tout le confort, la bonne chère et les parties de cartes avec ses amis du « Grand-Cerf ». Le vieux rabbin David Sichel, grand arrangeur de mariages, n'a pas réussi à tirer Fritz de sa tranquillité égoïste. L'entreprise, à vrai dire, nécessiterait l'intervention d'un magicien… ou d'une magicienne. On trouvera dans « L'ami Fritz » une peinture authentique de l'âme, des moeurs et des coutumes de la vieille Alsace.

N° 3313 - Une douce odeur de jasmin (Jeanne Stephens) - Un cadavre au tombeau (William Irish)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3313 à détacher Une douce odeur de jasmin  d'après le roman de Jeanne Stephens St. Augustine, au mois de mai, est ravissant. Carol Adamson, goûte d'autant plus les charmes de cette station balnéaire de Floride qu'elle est là pour travailler. Elle doit illustrer un livre de son cher ami Lloyd, écrivain de renom. Un jour, sur la plage, une fillette l'interpelle. Amanda est seule. Rosa, la Mexicaine la surveille à quelques pas. La petite fille lui parle de son père, trop occupé par ses affaires pour se soucier d'elle. Le désarroi d'Amanda serre le coeur de Carol. Chaque matin, pendant une semaine, elle se rend sur la plage et passe une demi-heure à jouer avec Amanda, sous l'oeil neutre de la Mexicaine. Un jour enfin Amanda invite son amie à venir dîner sur le bateau de son père, Dan Darcy. La stupéfaction est grande quand Carol reconnaît en Darcy l'inconnu qui l'a littéralement chassée, quelque temps auparavant, d'une plage où elle faisait des croquis… Un cadavre au tombeau  d'après une nouvelle policière de William Irish Extrait : Howie m'attendait à la gare avec cet air mi-figue mi-raisin qu'ont les jeunes neveux lorsqu'une vieille fille de tante leur arrive de sa province. Moi, j'espérais bien qu'on se serait manqués, mais j'ai joué de malchance. Je n'étais pas venue à New York depuis 1927, et il y avait quelques fantaisies que j'aurais voulu me payer. Oh ! rien de bien scandaleux…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire