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  • Auteurs: Emilie Hubert
  • Auteurs: May d'Alençon
  • Auteurs: Philippe Jean
Bibi-Coucou reprend la route (May d'Alençon) - Bibliothèque Rouge et Or Dauphine N° 176
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N° 176 - Bibi-Coucou reprend la route (May d'Alençon)

12,00 €
Aussi long que maigre, grand nez et larges oreilles, à longueur d'année, qu'il pleuve ou qu'il vente, sous le soleil ou sous la neige, Bibi-Coucou arpente les jolies routes de Normandie, en compagnie de Goret-Rose, son gentil cochonnet. Il est bon et serviable, et cependant très malicieux, aussi le voyons-nous toujours en quête de quelque bonne farce à jouer, sous la forme d'un service à rendre à de braves gens, ou d'une bonne leçon à donner à quelque méchant homme… À partir de 7 ans.

La grande aventure (Émilie Hubert)

6,75 €
Maud et Émilie sont deux amies inséparables qui aiment faire ensemble les quatre cents coups. Alors, quand l'une propose de jouer aux enfants perdus dans les bois, l'autre accepte sans hésiter. Une corde pour grimper, un drap pour monter une tente, quelques vivres pour subsister. Les voilà prêtes pour l'aventure. La grande. Mais, dans les bois, il fait vite sombre, surtout quand il pleut. Et puis, on n'est pas à l'abri de rencontres inquiétantes…

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 401 - Annick et son corsaire (May d'Alençon)

4,56 €
Annick vit avec son grand-père, le douanier, et sa grand-mère, dans une petite maison perchée sur une falaise bretonne. Gaie et serviable, la fillette a beaucoup d'amis, mais Gildas, aussi vif et impétueux qu'elle est rêveuse et douce, est le seul à partager son grand secret. C'est surtout aux jours de tempête qu'Annick et Gildas songent aux 8o marins de l'Albatros, qui se perdit corps et biens dans les parages, voici quelque cent ans. Mais n'y avait-il pas un 81e marin, le commandant du bateau, dont on ne retrouva jamais la trace ?...

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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