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  • Auteurs: Claudette Degéa
  • Auteurs: Emilio Ruiz
  • Auteurs: Jean Glachant

N° 266 - Son ami d'enfance (Claudette Degéa)

2,95 €
Extrait : « Trois mille deux cent cinquante francs légers ! Tout ce qu'il y a de plus légers ! Ma pauvre Isabelle, ce n'est pas le moment de faire des folies. A moins qu'il ne tombe dans ton escarcelle, la fortune d'un oncle d'Amérique ou que tu ne fasses la conquête d'un nabab cousu d'or, il faudra apprendre à ton estomac à taire ses exigences et aller demander asile à l'Armée du Salut. Si j'étais sténodactylo, infirmière ou vendeuse en alimentation, il n'y aurait pas de problèmes. Mon couvert et mon gîte seraient assurés. Mais quand on est journaliste qu'on a l'obstination d'aimer son métier au point de ne pas vouloir en exercer un autre, on connaît le destin sans gloire de ceux qui meurent de faim. » D'une main rageuse, Isabelle Vernet lança son porte-monnaie sur le meuble le plus proche et déplia un journal qu'elle étala sur son lit…

Corps à Corps (Ana Mirallès, Emilio Ruiz)

12,00 €
Dans les coulisses d'un tournage, les acteurs ont parfois de drôles de techniques pour conjurer le trac… Et certains producteurs de drôles de manières de faire passer les castings… Ana Mirallès a su conjuguer ardeur et sensibilité sur une histoire torride signée Emilio Ruiz.

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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