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  • Auteurs: Emilio Ruiz
  • Auteurs: Henri Troyat
  • Auteurs: Jean Glachant
Viou (Henri Troyat) - Castor Poche N° 93 - Flammarion
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Viou (Henri Troyat) - Castor Poche N° 93

3,45 €
Viou, huit ans, vit depuis la mort de son père au Puy, chez ses grands-parents. Eloignée de sa mère par les circonstances, la vie lui paraît souvent monotone. Viou, au caractère entier et passionné, lutte sans cesse pour retrouver le souvenir de son père. Ses pensées et sa tendresse se tournent vers sa mère qui travaille à Paris. Entre sa grand-mère pieuse et austère que rien ne distrait de la mémoire de son fils disparu, et son grand-père malicieux mais lointain, Viou s'efforce d'affirmer à la fois son caractère et son goût dévorant de la vie.

Corps à Corps (Ana Mirallès, Emilio Ruiz)

12,00 €
Dans les coulisses d'un tournage, les acteurs ont parfois de drôles de techniques pour conjurer le trac… Et certains producteurs de drôles de manières de faire passer les castings… Ana Mirallès a su conjuguer ardeur et sensibilité sur une histoire torride signée Emilio Ruiz.

La gouvernante française (Henri Troyat) - Castor Poche N° 368

2,74 €
C'est à la veille de la Révolution d'Octobre que Geneviève arrive à Saint-Pétersbourg. Elle a vingt-quatre ans, elle est française, gouvernante des enfants Borissov, et la vie lui semble pleine de promesses. Elle découvre, à travers ses yeux d'étrangère idéaliste, les premiers mois de l'insurrection bolchevique, le dénuement soudain des familles bourgeoises dépossédées de leurs biens, le danger, mais aussi la fougue qui anime les acteurs de ce drame. Geneviève va connaître la passion, la misère, la maladie, la désillusion aussi. Elle va tomber amoureuse de la Russie. Et rien, pas même son retour à Paris, ne pourra plus jamais la détourner de cet amour.

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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