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  • Auteurs: Emilio Ruiz
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Moyra Tarling

Corps à Corps (Ana Mirallès, Emilio Ruiz)

12,00 €
Dans les coulisses d'un tournage, les acteurs ont parfois de drôles de techniques pour conjurer le trac… Et certains producteurs de drôles de manières de faire passer les castings… Ana Mirallès a su conjuguer ardeur et sensibilité sur une histoire torride signée Emilio Ruiz.

N° 1691 - Retrouvailles impromptues (Moyra Tarling)

2,15 €
En reconnaissant l'homme inconscient, étendu sur une civière, que l'on venait d'amener au service des urgences, Kate eut un coup au coeur. L'accidenté de la route n'était autre que le Dr Diamond, le médecin chef de l'hôpital, qui venait tout juste de prendre ses fonctions ! Bien qu'elle ne l'eût pas revu depuis dix ans, la jeune femme gardait un souvenir précis de son visage aux traits à la fois fins et virils. Un visage que, jadis, elle avait tant aimé… Dominant l'émotion qui l'étreignait, Kate commença à administrer au blessé les premiers soins, avant d'être prise de panique. Comment, alors qu'elle devrait rester en permanence à son chevet, parviendrait-elle à traiter comme un simple malade cet homme qu'elle n'avait jamais pu oublier ?

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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