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  • Auteurs: Emilio Ruiz
  • Auteurs: Françoise Laurent
  • Auteurs: Paul Hervieu

Perds pas la tête, mamie ! (Françoise Laurent)

3,25 €
Joséphine, la mamie d'Antoine, fait des choses étranges : elle perd régulièrement des objets, verse des verres de lessive à la place du sirop, arrose les bibelots de la cheminée… — Elle doit aller à l'hôpital, disent les parents d'Antoine. Mais lui n'est pas de cet avis. À qui récitera-t-il ses leçons ? Qui l'aidera pour ses devoirs ? Joséphine est si patiente, si compréhensive ! Antoine décide donc de s'enfuir avec sa grand-mère. Il connaît une maison inhabitée dans un village perdu de Haute-Saône. Mais une grand-mère qui retombe en enfance, ce n'est pas de tout repos. Surtout lorsqu'elle est accompagnée d'un chat noir et d'un rat blanc. Et qui est cette Antoinette dont elle parle sans cesse ? Dès 9 ans.

Corps à Corps (Ana Mirallès, Emilio Ruiz)

12,00 €
Dans les coulisses d'un tournage, les acteurs ont parfois de drôles de techniques pour conjurer le trac… Et certains producteurs de drôles de manières de faire passer les castings… Ana Mirallès a su conjuguer ardeur et sensibilité sur une histoire torride signée Emilio Ruiz.

L'Alpe Homicide (Paul Hervieu)

12,00 €
L'Alpe Homicide (Paul Hervieu) Extrait Chapitre I : Quand j'arrivai à Chamonix, la nuit avait depuis longtemps noirci la vallée. Quelques lumières, en ville, indiquaient le seuil des pensions, le pont sur l'Arve et les quatre coins de la place qu'encombrait la compagnie des guides en quête de clients. Ma monture se fraya un passage au milieu de ces groupes patients et taciturnes ; et je l'arrêtai à la porte de l'hôtel de l' Ours . J'étais harassé par quinze heures de chevauchée à travers les montagnes de la Savoie ; et le froid, que les approches de l'automne faisaient descendre sur la pente des glaciers plus intense et plus humide, étreignait mes épaules et raidissait désagréablement mes genoux. J'avalai un bol de punch et je me couchai sans souper. Il est très difficile de s'endormir, dans un hôtel, avant que tout le monde soit au lit. Jusque-là le parquet sonore des couloirs est battu de pas lourds ; les gens de service s'interpellent et remuent des choses retentissantes. Des portes ouvertes crient en se fermant ; d'autres crient dès qu'on les ouvre, et leurs entrebâillements livrent passage aux récoltes pesantes de chaussures que les divers genres de promiscuité ont produites dans chaque chambre. Peu à peu ce tumulte s'apaisa ; mais l'énervement de fatigue où j'étais me tenait éveillé. Et à mesure que les bruits environnants diminuaient de force, mon oreille devenait impressionnable à des sons plus délicats…
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