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  • Auteurs: Emilio Ruiz
  • Auteurs: Louis Noël
  • Auteurs: Sally Carr

Corps à Corps (Ana Mirallès, Emilio Ruiz)

12,00 €
Dans les coulisses d'un tournage, les acteurs ont parfois de drôles de techniques pour conjurer le trac… Et certains producteurs de drôles de manières de faire passer les castings… Ana Mirallès a su conjuguer ardeur et sensibilité sur une histoire torride signée Emilio Ruiz.

N° 1860 - Dangereuse lune de miel (Sally Carr)

2,56 €
Sara Thornton est journaliste au Globe. Pour ce journal londonien, elle couvre tous les événements qui agitent le monde des stars et du show-business. Jake Armstrong, lui, est reporter photographe pour le même journal. Sa réputation, c'est sur les champs de bataille de la planète qu'il se l'est forgée. Apparemment, tout sépare ces deux êtres... Pourtant, ils ont partagé durant leur adolescence une brève idylle que Jake a choisi de rompre. Et voilà qu'aujourd'hui, c'est autour d'un fantôme qu'ils se retrouvent : le frère de Jake qui vient de mourir dans des circonstances mystérieuses. Sara, qui est la dernière personne à l'avoir côtoyé, refuse d'en dire davantage sur cette disparition. Prêt à tout pour la faire parler, Jake s'arrange pour l'emmener avec lui, dans un petit pays himalayen au bord de l'insurrection. Prise au piège de ce reportage et du rôle de jeune mariée que lui imposent les circonstances, Sara ne sait plus dès lors ce qu'elle doit redouter le plus : les dangers d'une révolution en marche ou la troublante séduction de son compagnon...

N° 32 - Mademoiselle de Sérances (Louis Noël)

8,00 €
Extrait : Dix heures venaient de sonner au cartel du grand salon ; la porte donnant dans la salle à manger s'ouvrit et le maître d'hôtel annonça : — Mademoiselle est servie. — Vite à table, Mesdames, dit joyeusement le comte Hubert de Sérances en offrant le bras à la vieille tante Euphrosine, il faut qu'à onze heures nous soyons en selle. J'espère vous présenter tout à l'heure un gaillard capable de nous faire voir du pays. Le comte, secondé par sa fille Françoise depuis la mort de sa femme, recevait comme on ne reçoit plus guère auourd'hui, souvent parce qu'on ne peut pas, quelquefois parce qu'on ne veut pas s'en donner la peine. Au centre de la table trônait sur un vaste plat d'argent une énorme hure de sanglier toute bardée de truffes. Tout autour s'arrondissait une jonchée de chrysanthèmes pourpre et chamois, couleurs de l'équipage ; parmi les fleurs galopait toute une meute en biscuit de Sèvres. Devant chaque convive une série de quatre verres s'emplissait peu à peu de vins couleur de topaze ou de rubis ; seul le maître de maison ne buvait que de l'eau…
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