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  • Auteurs: Emilio Ruiz
  • Auteurs: Lili S. Junod
  • Auteurs: Tudor

Les inséparables raflent tout (Tudor) - Lecture et Loisir N° 23

2,95 €
Chers enfants, À moins que vous ne vouliez que je devienne complètement fou, je vous prie de cesser de m'écrire pour me demander comment rencontrer les INSÉPARABLES. Je suis comme vous : dès que je vois leur sigle, je me précipite, car je sais qu'ils ne sont pas loin ! La dernière fois que je les ai vus - c'était le jour même du Mai - ils cherchaient désespérément 800 kilos de papier et de carton, tout en essayant de donner un coup de main à un géant, à un père (de tortue, s'entend), à une inventrice et à un Inspecteur de Police à la recherche d'un « ami du silence » qui, à son tour, voulait… Bref, vous verrez en lisant le livre. Maintenant, pour revenir à moi, tout dépend de vous. Si vous avez des nouvelles des INSÉPARABLES, faites-moi signe. Merci. TUDOR P.S. : Pour ne pas réveiller à ma place mon ami le meunier (vous voyez ce que je veux dire : « Meunier, tu dors… »), voici ma photo. Comme ça, vous ne courrez pas le risque que le meunier, en se réveillant, renverse la farine qui, tombant sur la casquette du facteur, l'énerverait au point qu'il giflerait le fleuriste qui, à son tour, se vengerait sur le boulanger, etc., etc. Légende des déclinaisons  : JAUNE pour les romans étrangers pour la jeunesse ; BLEU pour les jeunes de 11 à 15 ans ; ROUGE pour les enfants de 6 à 11 ans ; VERT pour les récits scientifiques et historiques.

Corps à Corps (Ana Mirallès, Emilio Ruiz)

12,00 €
Dans les coulisses d'un tournage, les acteurs ont parfois de drôles de techniques pour conjurer le trac… Et certains producteurs de drôles de manières de faire passer les castings… Ana Mirallès a su conjuguer ardeur et sensibilité sur une histoire torride signée Emilio Ruiz.

N° 1631 - La cavalière de minuit (Lili S. Junod)

3,74 €
Extrait : Juste Delrode vida sa pipe d'un geste familier en la toquant à petits coups secs contre le mur de l'âtre où rougeoyaient les derniers tisons. Son visage boucané par les intempéries, la vie en plein air, les épreuves des dernières années de guerre, reflétait une expression maussade, accentuant la dureté du regard enfoncé et des lèvres minces qui jamais ne souriaient. Sa femme, la Maria, effacée, humble, toujours craintive devant ce maître redouté qui, jadis, l'avait choisie pour sa beauté, alors qu'elle n'était qu'une pauvre orpheline élevée par les soeurs, épiait en tremblant les signes de contrariété silencieuse qu'elle voyait figer les traits de Juste. Sa bonne figure douce gardait malgré le temps et l'âge une finesse exquise, le même bleu pur des yeux, un bleu de vitrail au soleil, étonnamment clair. Soudain tonna la voix de son homme : — Dis donc, la Maria ! Sais-tu ben qu'not'fille a fait tant d'progrès qu'la maîtresse d'école voudrait qu'al aille finir d'étudier dans eun'ville de par ici ? Ça m'plaît point, j'te l'dis tout franc…
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