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  • Auteurs: Camille Arnold
  • Auteurs: Erin Watt
  • Auteurs: Henriette Caton
Les Héritiers T1 : La princesse de papier - Erin Watt - New Romance
  • Nouveau

Les Héritiers T1 : La princesse de papier (Erin Watt)

7,50 €
Une nouvelle vie. Pour le meilleur ou pour le pire ? Ella Harper est une battante, une éternelle optimiste. Elle a passé sa vie à déménager de ville en ville pour suivre sa mère, à avoir des fins de mois difficiles et à penser qu'un jour elles allaient s'en sortir. Mais quand sa mère meurt, elle se retrouve seule au monde… jusqu'au jour où Callum Royal apparaît dans sa vie. Finis la galère et le club de strip-tease pour payer ses études. La voilà dans le grandiose manoir des Royal. De l'argent, du luxe, du confort… Et… les cinq fils de Callum. Tous la détestent, tous sont désespérément attirants. Le plus charismatique d'entre eux, Reed Royal, est celui qui est le plus déterminé à la renvoyer là où il pense qu'est sa place, dans un monde de dénuement qu'elle n'aurait jamais dû quitter. Et s'il avait raison ? Argent, excès, tromperies, faux-semblants. Tout un univers qu'Ella découvre avec stupeur. Si elle veut survivre dans le royaume des Royal, il va falloir qu'elle apprenne à édicter ses propres règles… royales.
Les Héritiers T4 : Le prince déchu - Erin Watt - New Romance
  • Nouveau

Les Héritiers T4 : Le prince déchu (Erin Watt)

7,50 €
Easton pourra-t-il assumer les conséquences de ses actes ? Easton Royal a tout pour lui : la beauté, l'argent, l'intelligence. Son but dans la vie, c'est de s'amuser autant que possible, sans jamais penser aux conséquences de ses actes. Mais quand Hartley Wright fait son apparition, elle bouscule la vie tranquille d'Easton. Même si elle est très attirée par lui, elle ne lui cédera pas aussi facilement qu'il le pense. Elle veut qu'il grandisse et, en attendant, elle ne veut pas de lui. Elle a probablement raison. Rivalités. Règlements de comptes. Regrets. Pour la première fois dans la vie d'Easton, être un Royal ne suffit pas. Il est sur le point d'apprendre que plus on part de haut, plus dure est la chute.

N° 1676 - La clause secrète (Camille Arnold)

2,92 €
Extrait : Jacqueline repoussa lentement le tiroir du classeur dont le carton vert était déchiré, après y avoir rangé la traite des établissements Phalippou et Fils… Elle était lasse. Non pas lasse de trop travailler — son emploi de dactylo-facturière chez Fradet , « couverture, plomberie, sanitaire », n'était pas harassant ! — mais, au contraire, de faire un travail monotone et ennuyeux auquel elle ne parvenait pas à s'intéresser. Tandis qu'elle cherchait dans une boîte déglinguée un morceau de sparadrap pour arranger tant bien que mal le tiroir défaillant, elle regardait du coin de l'oeil, avec une sorte d'envie, le comptable, M. Plumet…

N° 1356 - Au nom de l'amour (Henriette Caton)

4,00 €
Extrait : — Maman, regarde ma jupe !… Mme Lanfeuille, occupée à repriser des bas, leva lentement la tête et son visage mélancolique prit une expression de détresse infinie. La gorge serrée, avec un haussement d'épaules découragé, elle soupira et répondit : — Oui, je vois… La voix fraîche de la jeune fille s'éleva de nouveau : — Il ne sera bientôt plus possible de la raccommoder…

N° 1447 - Le retour d'un évadé (Henriette Caton)

3,56 €
Extrait  : Dans le compartiment de troisième classe d'un train de banlieue, Marc Aubry venait de monter, après avoir laissé passer devant lui deux jeunes femmes qui avaient commencé à lier conversations sur le quai. L'une d'elles tenait la valise qu'il avait fait glisser entre les deux banquettes tout en grimpant sur le marchepied. Elle la lui tendit en souriant gentiment. …

N° 1495 - L'impardonnable vengeance (Henriette Caton)

3,50 €
Extrait : — Monsieur Mesnil ! monsieur Mesnil !… Où êtes-vous ? La mère Gertrude s'époumonait, les mains en porte-voix devant sa bouche, à l'extrémité de l'immense cour qui précédait la rustique et pourtant élégante demeure. — Monsieur Mesnil ! monsieur Mesnil !… Un homme apparut, sortant d'un hangar. …

N° 1447 - Le retour d'un évadé (Henriette Caton)

6,00 €
Extrait : Dans le compartiment de troisième classe d'un train de banlieue, Marc Aubry venait de monter, après avoir laissé passer devant lui deux jeunes femmes qui avaient commencé à lier conversations sur le quai. L'une d'elles tenait la valise qu'il avait fait glisser entre les deux banquettes tout en grimpant sur le marchepied. Elle la lui tendit en souriant gentiment. …

N° 1704 - Au bord de l'abîme (Camille Arnold)

3,74 €
Extrait : Gustave Herbelot reposa le vase de Sèvres dont, machinalement, il avait regardé la marque. On aurait dit qu'il faisait, sans y songer, l'inventaire de ce qu'avait laissé, en mourant, Suzanne Teyssière. De tous les bibelots qui ornaient ce salon, le plus ravissant était sans conteste Odile devant qui Gustave vint se planter, les mains aux poches : — Alors, petite ? Nous sommes d'accord ? La jeune fille leva vers lui un regard craintif : — Il le faut bien, tonton. Elle n'était pas sa nièce, mais celle de sa femme, Fernande, qui était morte deux ans plus tôt. Décidément, on ne vivait pas vieux, chez les Guitton : les deux soeurs, Fernande et Suzanne, avaient été orphelines de bonne heure. Puis Fernande était morte à trente-huit ans et voici que Suzanne venait à son tour d'être emportée en quelques jours par une angine de poitrine. Il restait à Gustave, en tout de sa belle famille, cette nièce de dix-sept ans dont il avait été désigné le tuteur…

N° 1567 - L'inutile sacrifice (Camille Arnold)

3,05 €
Extrait : Chaque fois que Madeleine entend l'ascenseur se mettre en marche les aiguilles de son tricot s'immobilisent et elle suspend presque son souffle pour tendre l'oreille. Est-ce lui, cette fois ? Non, l'arrêt se fait à un autre étage... et elle en est, à la fois, déçue et contente : déçue, parce qu'elle languit que Claude soit rentrée... et contente, parce qu'elle pourra faire encore quelques « rangs » de plus à son pull-over. Comment sera-t-il ce soir ? Ne sera-t-il pas trop fatigué par le métro et ses bousculades aux heures de « pointe », ses innombrables escaliers de correspondance ? Ne sera-t-il pas trop énervé par les leçons données à des aspirantes-pianistes qui n'ont pas la moindre disposition pour la musique mais qui, avant de savoir faire une gamme, sont impatientes de pouvoir jouer Tristesse de Chopin à leur première réception ? Ne sera-t-il pas trop démoralisé par une entrevue avec quelque directeur de théâtre ou quelque éditeur qui, après lui avoir prodigué de grandes louanges pour ses oeuvres, se sera répandu en soupirs pour se plaindre de la crise, des frais chaque jour plus lourds qui l'obligent à « ne miser que sur des noms connus du public »…
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