Accueil

Accueil

Il y a 4 produits.

Affichage 1-4 de 4 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Etienne Retterdy
  • Auteurs: Georgette Paul
  • Auteurs: Louise Gravise

N° 30 - Monsieur le marquis a disparu (Etienne Retterdy)

5,50 €
Extrait : Le chapeau de paille en arrière du crâne, la chemise Lacoste largement ouverte sur sa poitrine, le commissaire Pascal déambulait, en cette belle après-midi de juillet, dans les rues ensoleillées de Deauville. Il avait enfin obtenu de son chef quelques semaines de vacances et il comptait bien en profiter pour se reposer sans remords, tel un brave boutiquier…

Ballet pour une ombre (Georgette Paul)

9,90 €
Quelques instants avant de mourir la grande étoile de la danse Nina Darova a demandé à son maître de ballet, Boris Norsky, de retrouver sa fille, qu'elle a eue d'un bref mariage, et de s'occuper d'elle. Fidèle à sa promesse, Boris est parti pour l'Italie à la recherche de Ludmilla Ouranoff. C'est en France qu'il la découvrira. Elle exerce le même métier que sa mère, mais le succès n'est point venu. Alors Boris décide de mettre tout en oeuvre pour que Ludmilla devienne une grande danseuse. Mais que d'hommes, séduits par la beauté de Ludmilla, gravitent autour d'elle ! Il y a Jacques Faivre, l'homme qu'elle aime, mais auquel elle doit renoncer, Rudolph Hartwell, de qui elle a repoussé les avances et qui veut se venger de son dédain. Partenaire de Ludmilla, Rudolph ne cesse d'alimenter la mésentente qui règne entre eux depuis le début des répétitions. La première réapparition en public de Ludmilla frise la catastrophe. Boris la sauvera-t-il du désastre ? La jeune danseuse l'aime secrètement. Mais par ses tergiversations, son attitude déconcertante, elle a réussi à le pousser au désespoir. Il veut la fuir. En aura-t-il le courage ?

N° 1698 - Quand l'amour veut vivre (Louise Gravise)

3,05 €
Extrait : — Le malade est perdu... Jean Lallier redressa sa haute taille, et foudroya du regard son assistant. — Je le sauverai ! Si vous flanchez, Lausac, allez ailleurs ! L'opération était assurément particulièrement délicate. Un massage du coeur avait déjà paré à une première alerte. Le patient était âgé et les réactions de l'organisme trop lentes. Le Dr Lallier l'avait prévu. Mais il fallait tenter cette intervention. C'était cela ou la mort inévitable. En toute conscience, il avait choisi. — Le coeur faiblit ! annonça l'anesthésiste, de sa voix calme, impersonnelle, comme perdue dans le silence blanc de la salle. Lallier sentait la sueur lui perler le long des tempes et tomber goutte à goutte dans son col, dans son masque… Un flot de sang jaillit d'une veine qui venait de céder sous une pince. Lallier leva les yeux et surprit un sourire narquois sur le visage de l'interne ; un jeune homme qui croyait tout savoir et se targuait de faire des diagnostics infaillibles…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire