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  • Auteurs: Eugène d'Henry
  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: Lynda Curnyn

N° 3 - Confessions d'une ex (Lynda Curnyn)

2,95 €
Je vais vous faire un aveu : à 31 ans, j'ai le chic pour tomber sur des types auxquels le mot « engagement » donne des boutons… Tony, mon ex-petit ami, est un excellent spécimen du genre. Après deux ans de vie commune, il a en effet préféré retrouver sa liberté, pile au moment où je faisais des rêves d'avenir avec lui. Il ne faut pas croire que les choses s'arrangent après la rupture. Surtout quand on travaille pour un magazine spécialisé dans l'organisation de — devinez quoi ? — mariages ! Si, une déveine pareille, c'est possible… Et à ce stade du problème, le mieux pour moi est de tirer un trait sur mon passé, et de me répéter tous les jours que l'homme idéal ne m'a tout simplement pas encore remarquée…

N° 1482 - Sur la route sanglante (Eugène d'Henry)

3,05 €
Extrait : — Dis-moi, elle est très bien, cette grande brune. C'est la gouvernante de Jacqueline ? Marcel Deraker hésita un peu avant de répondre : — Oui. Pourquoi ris-tu ? — Moi ? Je ris ? Je souris, tout au plus… Jean Pertuis creusa un instant, du bout de son soulier, le sable de la plage. Devant eux, la côte plate s'allongeait, brûlée de soleil d'août. La mer grise, cette Manche qui commençait à s'appeler la Mer du Nord, flambait de mille paillettes d'argent qui étaient de menues vagues. Un gros cargo siffla au loin, demandant le pilote.Pertuis avait relevé son visage égayé et dévisageait Marcel : — Je souris en songeant que cette gouvernante de jeune fille gouvernerait volontiers… certain jeune homme. — Mais je je désire pas être gouverné, moi ! J'ai trop de volonté pour cela !…

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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